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etc., etc. Il y a là beaucoup de notes inédites qu'on lit avec intérêt et qu'on remerciera M. M. d'avoir exhumées. Ce seizième volume termine l'édition des œuvres. Mais il y aura six volumes encore: M. Muncker publiera dans les tomes 17, 18, 19, 20 et 21 la correspondance de Lessing; le tome 22 renfermera un supplément, une bibliographie du grand écrivain et une table détaillée des matières. A. C.

La librairie Max Hesse de Leipzig vient de mettre en vente une édition de Bürger, en quatre volumes, reliés en un seul. Elle est due à M. Wolfgang de WURZBACH qui l'accompagne d'une introduction et de notes. On trouve dans le premier volume les poésies d'après l'édition de 1789. Le deuxième renferme les autres poèmes de Bürger et le Münchhausen qui manquait dans toutes les éditions précédentes et qui est reproduit d'après l'édition de 1788. Le troisième contient les écrits sur la langue, la littérature, la poésie, l'art et les discours de francmaçonnerie. Le quatrième comprend les traductions et les dissertations que Bürger a composées à leur propos; parmi ces morceaux, figurent pour la première fois les fragments de la traduction du Songe d'une nuit d'été; mais on regrettera que l'éditeur n'ait pu insérer en entier la traduction d'Homère. Toutefois, cette édition est, en somme, la plus complète édition que nous avons de Bürger. A. C.

La même librairie publie en un volume une édition des Conversations de Goethe et d'Eckermann (Gespräche mit Goethe in den letzten Jahren seines Lebens) par M. Ludwig GEIGER. L'introduction fait ressortir la valeur des entretiens et leur intérêt l'oeuvre, dit justement M. Geiger, est classique et complète très heureusement l'image du grand poète et du grand homme. Une suite de notes courtes et serrées, placées à la fin du volume, nous renseigne sur les œuvres et les personnages cités au cours des Gespräche (p. 624-646); elles n'étaient pas inutiles et on les consultera avec fruit, car M. Geiger connaît intimement la littérature du XVIII et du XIXe siècle. Une table des matières très copieuse termine cet excellent volume. A. C.

— M. Thaddée ZIELINSKt a publié naguère une dissertation fine et parfois subtile sur le Merlin d'Immermann (Die Tragödie des Glaubens, Betrachtungen zu Immermanns Merlin. Leipzig, Teubner. In-8°, 50 p. 1 mark 20). On sent qu'il a lu et analysé le poème avec ardeur et une sorte d'enthousiasme. Selon lui, l'idée de l'œuvre, c'est la lutte entre la religion païenne de la nature et la charité, la < Charitas » du christianisme. Merlin est d'abord échauffé par le feu de la charité chrétienne et Klingsor s'incline devant lui; mais Merlin échoue et il doit échouer contre un écueil, contre Niniana, contre l'Amour, l'amour terrestre et sensuel. M. Zielinski a étudié les personnages l'un après l'autre, et il a nombre de remarques intéressantes, notamment sur Niniana, sur Satan, sur Klingsor, sur le pélagianisme comparé avec la doctrine de Merlin. Immermann n'a sans doute pas eu toutes les idées que lui prête son critique; mais cette dissertation comptera parmi les meilleurs travaux dont l'auteur de Merlin a été l'objet. — A. C.

Un premier lieutenant de l'artillerie saxonne, M. Arthur SCHURIG, vient de publier une traduction de l'Amour de Stendhal (Von Stendhal-Henry-Beyle, Ueber die Liebe. Leipzig, Diederichs. In-8°, XXIV et 389 p.). L'ouvrage est très joliment imprimé. Il est précédé d'une introduction où M. Schurig prouve une profonde connaissance de la littérature stendhalienne. Les notes de Stendhal sont rejetées à la fin du volume et le traducteur y a joint un index des noms de personnes et de lieux (Lire Abbatucci et non Abbutacci; Frau Bazile et non Frau von

Bazile; peut-on dire que le duc de Berry a « combattu, en 1814, comme colonelgénéral contre Napoléon >> et que Mme d'Epinay fut « die Geliebte Rousseaus »?; lire Consalvi et non Gonzalvi, Ginguené et non Guinguené; Joinville fut commissaire des guerres et intendant, mais non auditeur; sur MTM• de Larnage voir les Confessions; les Liaisons dangereuses sont-elles un livre « amusant »?; Mérimée est-il l'« élève » de Stendhal?; Peguilhen est le même que Lauzun; lire Serurier et non Serrurier et Trestaillons au lieu de Troistaillons). La traduction est d'ailleurs bien faite, souvent plus élégante qu'exacte, nullement littérale et elle laisse de côté tous les masques et jeux de cache-cache; mais, comme dit M. Schurig, il fallait, avant tout, rendre claire cette langue sibylline. · - A. C.

Les deux auteurs du volume En regardant passer la vie (Paris, Ollendorff. In-8°, 286 p.), l'auteur d'« Amitié amoureuse » et Henri Amic, ont eu l'idée de reproduire des conversations où leur mémoire s'entraînant l'une l'autre, ils évoquaient le passé. Ils nous parlent de Corot, de Guillaumet, surtout de Maupassant, de Bastien-Lepage et de George Sand. On trouvera dans leur ouvrage bien des détails curieux sur les voyages de Maupassant, des lettres de Bastien-Lepage qui font juger de son caractère et de son talent, une correspondance très attachante et parfois émouvante entre George Sand, Mm Dorval et Luguet; il y a, disent avec raison les auteurs, du génie dans les lettres de George Sand, mais il y a dans celles de Luguet le génie du cœur et il semble, après avoir lu celles de BastienLepage, qu'on quitte un ami. La lecture de ce livre n'est donc pas négligeable, et elle intéressera tous ceux qui veulent connaître de plus près quelques grands esprits de notre temps. A. C.

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Le livre de M. Adalbert de HANSTEIN, joliment édité et accompagné de cent treize portraits, sur «< la toute jeune Allemagne » (Das jüngste Deutschland. Leipzig, Voigtländer. 1901, in-8°, xvi et 375 pp. 6 mark 50) est le meilleur qu'on puisse consulter sur la littérature allemande des vingt dernières années du xix siècle. Bien composé et ordonné, écrit avec agrément et non sans verve, il témoigne d'un très grand soin. M. de H. possède son sujet; il a vu de près la plupart des poètes et romanciers qu'il nous présente, et il a vécu dans les sociétés littéraires qu'il nous décrit, sans être convaincu d'ailleurs de l'utilité de ces cénacles, car, « les individus qui créent librement peuvent seuls être réellement de grands artistes ». Il s'est efforcé de rester aussi impartial que possible et ses jugements sont presque toujours mesurés et équitables. On lui reprochera de s'étendre trop longuement sur certains écrivains, de traiter trop brièvement de certains autres, d'oublier tel et tel, Mais, en somme, M. de Hanstein s'est fort convenablement acquitté de sa tâche difficile et il a réussi à faire ce qu'il voulait, à tracer un tableau d'ensemble du mouvement littéraire de l'Allemagne contemporaine : sa façon large et intéressante d'exposer les choses, ses appréciations saines et justes, ses analyses exactes des œuvres principales, ses citations caractéristiques ont valu à son ouvrage un succès mérité. A. C.

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On ne lira pas sans profit ni intérêt la brochure du général BONNAL sur la méthode dans les hautes études militaires en Allemagne et en France (Paris, Fontemoing. In-8°, 35 pp. 1 franc). Le général y prouve qu'il faut développer chez les chefs l'unité de doctrine ou la communauté de pensée, qu'il faut « usiner »> la guerre, et il rappelle que Clausewitz a eu plus d'influence sur le développement intellectuel du commandement prussien par ses leçons pratiques à l'Académie militaire de Berlin que par la publication posthume de sa « Théorie de la grande guerre », que Moltke put à cette même Académie « grâce à un choix judicieux

établi sur des épreuves et des stages », faire de l'état major « le principe intellectuel de l'armée à sa plus haute puissance ». En revanche, pendant que l'état-major prussien se préparait, à l'aide de travaux historiques et de manoeuvres de cadres, à son rôle de direction des armées, et cela durant un demi-siècle

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étaient organisées en France les hautes études militaires? On croyait que la guerre est un art sublime qui échappe à tout calcul, et les ouvrages des généraux du premier Empire, Marmont, Morand, Pelet et autres n'offrent pas un corps de doctrine pour la conduite de la grande guerre. Une exception doit être faite en faveur du livre de Jomini, Précis de l'art de la guerre; encore son influence sur l'esprit des officiers dont il était le bréviaire, fut-elle plutôt fâcheuse. Mais la leçon de 1870 n'a pas été inutile; une doctrine s'est constituée en France; l'École supérieure de guerre y a pris une large part et la mise en vigueur du règlement sur le service des armées en campagne du 28 mai 1895 l'a officiellement consacrée. Après avoir exposé les avantages de l'unité de doctrine, le général Bonnal montre ce qu'est la doctrine et comment on peut l'acquérir. Il insiste notamment sur la méthode qu'il recommande et juge la meilleure, la méthode des cas concrets : étudier, discuter, jour par jour, heure par heure, les phases d'un fragment d'une campagne moderne, en accordant la même importance et aux événements et aux idées exprimées dans les ordres du commandement, même quand ces ordres n'ont pas été suivis d'exécution; de cette étude et discussion découlent des idées générales dont quelquesunes acquièrent la solidité de principes applicables à la généralité des circonsA. C.

tances.

- Nous recevons une brochure de 70 pages de M. Paul FONTIN, Les sous-marins et l'Angleterre (Paris, Chapelot). M. Fontin expose, d'après les sources officielles et en chiffres précis, la puissance maritime de l'Angleterre, d'autant plus grande, qu'elle a créé un « état d'esprit universel », la croyance que le sort de la guerre dépend des escadres et que l'empire de la mer s'obtient par la destruction ou le blocus de la flotte ennemie. Mais il y a, dit M. F., une méthode de guerre toute différente; elle a été conçue par Fulton et l'amiral Aube. Là-dessus, M. F. raconte comment Fulton proposa à la France la vapeur appliquée à la navigation, la torpille et le sous-marin, comment il fut abreuvé d'humiliations, passa en Angleterre, obtint un succès complet... et dut partir aussitôt : « Pitt, disait Jervis, est le plus grand des sots qui aient jamais existé, d'encourager un genre de guerre inutile à ceux qui sont les maîtres de la mer et qui, s'il réussit, les privera de la suprématie. » Soixante-dix ans après Fulton, vient la tentative de l'amiral Aube, ministre de la marine; M. F. l'expose avec beaucoup de vigueur et de clarté, et il montre que l'amiral Aube, malgré l'insuccès de ses efforts, a laissé du moins à la France le sous-marin. Et l'Amirauté britannique, elle aussi, est venue au sousmarin, mais malgré elle, et elle prétend qu'il n'est pas invulnérable, que les cuirassés s'en débarrasseront aisément et que son entrée en scène ne saurait porter atteinte au dogme de la guerre d'escadres. M. Fontin conclut que, malgré l'Amirauté britannique, la France doit mettre en ligne la quantité nécessaire de submersibles et de sous-marins pour écarter les escadres anglaises tant de notre littoral que de leurs propres rivages, et il cite l'expérience, le raid de juillet dernier où quatre submersibles venus de Cherbourg entrèrent invisibles dans la rade de Brest et pouvaient détruire nos vaisseaux. — A. C.

- M. Albert SOUBIES a publié chez Flammarion, dans sa jolie et utile collection de l'Almanach des Spectacles, un nouveau volume le volume pour l'année 1901 - orné, comme les précédents, d'une eau-forte de Lalauze. On y trouvera, entre

autres documents inédits, une nomenclature des pièces qui, en 1901, ont réalisé, dans les théâtres de Paris, les recettes les plus élevées. Ce volume est le trentième de l'Annuaire dramatique que M. Soubies fait paraître; rarement le même auteur poussa aussi loin une publication, et nous en félicitons M. Soubies.-A.C. Nous avons à annoncer deux fascicules nouveaux du Schweizerisches Idiotikon (Frauenfeld, Huber): le fascicule XLV qui va de blueste à (rad)brechen et le fascicule XLVI qui va de (durch)brechen à brief; ils renferment, comme les précédents, nombre d'articles intéressants et fouillés. C.

La librairie Heitz et Mündel,

Strasbourg, publie la traduction française de la 3e édition de l'étude d'Adolphe Hildebrand : Le Problème de la forme dans les arts figuratifs (1 vol. in-12 de 162 p. Prix 2 mk. 40. A Paris, chez Bouillon). Cette traduction est l'œuvre de M. Georges M. Baltus. Il s'excuse d'avoir dù << renoncer entièrement à satisfaire des exigences littéraires qui auraient rendu son travail impossible », tant le texte est difficile à transposer selon sa valeur esthétique plus encore que le sens des mots. Le fait est que le style de cette version française est assez spécial, mais on s'y fait, et l'on sent que la pensée de l'auteur est fidèlement sauvegardée. Ces questions d'esthétique transcendante ont besoin de précision dans les termes, et bien que la lecture en soit un peu laborieuse, on ne peut leur refuser une vraie originalité. Voici les divisions du volume: Représentations de la vue et du mouvement; la forme et l'effet; la représentation spatiale et son expression dans l'apparence; la représentation de plan et de profondeur; la conception en relief; la forme, expression de la vie fonctionnelle; la sculpture en pierre. - H. C.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 27 mars 1903.

M. Théodore Reinach fait une communication sur le poéme récemment découvert de Timothée : les Perses. C'est un nome citharodique célèbre de l'an 400 a. C. Le papyrus, qui le contient, trouvé en Egypte et publié à Berlin, est le plus ancien manuscrit littéraire qui soit connu; il paraît être contemporain d'Alexandre-leGrand. M. Reinach traduit et analyse les principaux épisodes de ce poème et en fait ressortir le style prodigieusement imagé qui annonce déjà Lycophron.

M. Emile Rivière fait une communication sur une découverte faite dans une sablière de Paris. Dans plusieurs fosses on a trouvé des ossements humains brûlés et pour ainsi dire broyés, mais réunis soit dans un vase en terre noire et mêlés à des matières charbonneuses, soit en un seul et même amas; mais vases ou amas sont dans chacune de ces fosses recouverts par une pierre plate. Outre des fragments de poteries et de tuiles romaines, on y a recueilli des ossements d'animaux portant gravés des chiffres romains, presque toujours les mêmes, V. X. I., ou des lettres, comme la lettre A. Ces derniers faits n'avaient pas encore été observés. M. Daniel Serruys communique le résultat de ses observations sur l'élément verbal dans la composition lyrique des Grecs. La méthode statistique appliquée à l'étude des vers lyriques permet d'y reconnaitre un système de coupes qui éclaire à la fois la division strophiqne, l'équivalence des mesures et la nature du rythme fondamental. Alors que la rythmique abstraite assimilait la strophe lyrique à une prose rythmée, où la phrase musicale seule créait une périodologie, la métrique verbale y découvre une poésie susceptible de formes variées, mais régulières, dont M. Serruys déterminé le caractère et les lois.

Léon DOREZ.

Propriétaire-Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie Régis Marchessou, 23, boulevard Carnot

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graphische Verhältnisse, Ansiedlungen und Bevölkerungsvertheilung im Ostfälischen Hügel und Tiefland. Zeitschrift des deutschen und österreichischen Alpenvereins. Jahrg. 1902. P. VIGNON, Le linceul du Christ. DÜLBERG, Fruhholländer in der Schweiz.

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Literarisches Centralblatt, no 12 : Das Buch Hiob, trad. DELITZSCH. HOLZHEY, Die Bücher Esra und Nehemia. JULIUS, Die griech. Danielzusätze und ihre Kanonische Geltung. - MONTANARI, Annibale (naif, prétentieux et peu au courant). Corporis chartarum Italiae, p. L. M. HARTMANN. — E. MÜLLER, Das Itinerar Kaiser Heinrichs III. JOHNSTON, The Roman theocracy and the republic 1846-1849. Dove, Grossherzog Friedrich von Baden als Landesvater und deutscher Fürst; O. LORENZ, Friedrich Grossherzog von Baden (Dove est excellent et traite le sujet à tous les points de vue; Lorenz, plus court, a eu en main des documents inédits). - H. MEYER, Die Eisenbahnen im tropischen Africa. - CROW, Arabic manual. - GARDTHAUSEN, Sammlungen und Cataloge griech. Handschriften. NYROP, Manuel phonétique du français parlé. KüнNE, Venus, Amor und Bacchus in Shakspeare's Dramen. JESS, Langbein u. seine Verserzählungen. — REPKE, Die Perspektive und Architektur auf den Dürerschen Handzeichnungen. Taine, Philosophie der Kunst, trad. HARDT.

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La Revue Musicale, janvier 1903: M. KARLOWIEZ, préface aux souvenirs inédits de Chopin. Frédéric CHOPIN, Souvenirs inédits, publiés par M. Karlowiez. Louis LALOZ, la demoiselle Elue (M. LL. Debussy). Julien TIERSOT, Les Choeurs d'Esther de Moreau. Romain ROLLAND, Les Maîtres de l'Opéra I. Gluet. (Texte musical). PHY-SICUS, le baromètre musical. L. L. l'Etranger à Bruxelles (M. V. d'Indy). Pierre AUBRY, Une grève de musiciens à Rome. DAMON, Exercices d'analyse. A. DERENBOURG, A propos des Derviches tourneurs. Louis SCHNEIDER, Titania (M. Georges Hüe). TEXTE MUSICAL INÉDIT: Scène de la danza pastorella de Gluet. Février 1903 Georges Pfeiffer, La Classe d'ensemble au Conservatoire. Jean CHANTAVOINE, Beethoven compositeur pour boîte de musique. Louis LALOZ, Un Artiste inconnu. Julien TIERSOT, Nouvelles lettres de Berlioz. Louis SCHNEIDER, Le Tasse (M. E. d'Harcourt. - Frédéric CHOPIN. Souvenirs inédits (suite).TEXTE MUSICAL INÉDIT: Allegro de Beethoven. — Mars 1903: Jules CoMBARIEU, La « Damnation de Faust »à Monte-Carlo. — Gustave LYON, L'Acoustique du Trocadéro. Louis LALOZ, Ephémérides grégoriennes. Henry GAUTHIER-VILLARS, Qu'est-ce que la musique française? Romain ROLLAND, Les origines de l'Opéra. - Henri GUITTARD, Louis Couperin. Constant ZAKONE, Un nouvel orchestre. DAMON, Exercices d'analyse. — Amédé LEMOINE, La « statue » de M. E. Boyer. -Pol NEVEUX, Nécrologie. Frédéric CHOPIN, Souvenirs inédits (suite). TEXTE MUSICAL INÉDIT: Prélude de Louis Couperin.

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