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le mélange des vers et de la prose. M. L. qui sait donner un tour agréable à ce qu'il dit, a trouvé dans les critiques anglais de la fin du XVIIe siècle, les Rymer, les Gildon, les Dennis, d'amusantes absurdités. Ces barbouilleurs imposaient alors leur autorité aux petits poètes qui s'étaient chargés de remanier et de rajeunir Shakespeare. Persuadé qu'un monarque de tragédie ne devait jamais avoir de défaillance morale, Nahum Tate, un sot rimailleur, refit Richard II en rendant le héros noble et solennel. C'est lui qui, sachant que la critique interdisait la prose dans les tragédies, s'essayait à cet exercice d'écolier qui consiste à «< tourner » de la prose en vers : « Heaven and earth, s'écrie Gloucester dans le Roi Lear en apprenant la trahison d'Edgar, Edmund, seek him out; wind me into him, I pray you; frame the business after your own wisdom; I would unstate myself to be in a due resolution ». Voici la version de Tate :

Edgar to write this

'Gainst his indulgent father! Death and Hell!
Fly, Edmund, seek him out, wind me into him,
That I may bite the traitor's heart, and fold
His bleeding entrails on my vengeful arm.

Malheureusement, et M. Lounsbury aurait pu signaler ce danger, ces interpolations se sont quelquefois substituées pour de bon au texte original, et, à moins de choisir une bonne édition critique, le lecteur risque fort d'admirer du Tate pour du Shakespeare.

La conclusion du livre est discutable : dire que le théâtre de Shakespeare est moral, c'est affirmer une vérité dont l'enthousiasme individuel est le seul garant. C'est le privilège des grands génies de faire travailler l'imagination. Moralité du théâtre, moralité de l'histoire, autant d'erreurs vénérables que la prescription colore d'un air de vérité. Elles plaisent, sont inoffensives, et ce serait cruel de les réfuter.

Une bibliographie soignée complète ce livre solide, bien écrit, et dont le défaut principal est la prolixité. La littérature américaine, comme un jeune auteur de talent, est abondante et douée de facilité; elle apprendra plus tard, avec l'âge et l'expérience, l'art de se borner. Ch. BASTIDE.

- M. Ernst von DовSCHÜTZ se délasse des travaux de pure érudition en écrivant: Die urchristlichen Gemeinden, sittengeschichtliche Bilder (Leipzig, Hinrichs, 1902; xiv-300 pp. in-8°; prix : 6 mk.). Mais j'ai tort de laisser entendre que ce livre n'est pas un livre savant; il l'est dans le meilleur sens du mot et M. v. D. aborde les problèmes que posent à l'historien les origines de l'Église chrétienne avec une parfaite connaissance des sources. Il ne s'occupe ici que des problèmes moraux. Aristides fait de la vie des chrétiens un tableau brillant et

pur. Hermas, presque en même temps, écrit un véritable réquisitoire contre les mœurs des chrétiens. Comment s'explique cette opposition? M. v. D. étudie successivement les communautés de saint Paul (Corinthe, Thessalonique et Philippes, l'Asie Mineure, Rome), les chrétientés juives, les chrétientés des Gentils sous l'influence de Paul (épître aux Hébreux, épîtres de Pierre, épîtres de Clément), dans le rayon de Jean (écrits johanniques et saint Ignace), aux débuts de la gnose, dans la transition au catholicisme (Hermas). Des analyses très déliées servent à présenter une série de peintures. La conclusion est tout à fait favorable. Les apologistes ont raison. La moralité des chrétiens fut alors supérieure et réalisa, dans ce premier siècle, un progrès sensible, puisque des actes, elle s'étendit aux pensées. Je ne voudrais pas dissiper ce rêve. Cependant il y a un fait dont on doit tenir compte. Les catéchumènes étaient très nombreux. Dès lors, une communauté ne comptait, en fait de chrétiens baptisés, que le clergé, les vieilles gens peut-être, et les natures calmes et graves qui recruteront bientôt l'ascétisme. La sainteté pouvait être facilement générale dans un tel milieu. Et pourtant il y avait des pénitents! Quant aux catéchumènes, il est probable que l'idéal évangélique leur apparaissait comme les saints mystères, un rêve vers lequel ils aspiraient sans le réaliser de leur participation personnelle. Il faut pourtant convenir que les fautes et les scandales laissent dans l'histoire des traces que ne font pas les vertus. De fait, nous sommes trop mal renseignés et nos témoins ne se sont pas proposé le même but que nous. Les textes des païens, Pline, Lucien, Celse, sont maigres, peu probants, isolés, et ceux de Celse nous viennent par citation chrétienne et découpage plus ou moins tendancieux. Les apologistes doivent présenter le côté brillant du christianisme; Hermas, comme tous les moralistes, parle rudement à ses frères. La vérité, si nous pouvons l'entrevoir, n'est-elle pas entre les deux? En tout cas, le livre de M. von Dobschütz garde sa valeur par la discussion et la réunion des témoignages. Six dissertations d'un caractère plus technique traitent les sujets suivants : la statistique des populations antiques, l'esclavage chez les Anciens (le livre de M. P. Allard, Les esclaves chrétiens, manque à la bibliographie), le jugement de Dieu à Corinthe, Jacques, le frère du Seigneur, le végétarianisme ancien, la terminologie de la morale chez les premiers auteurs chrétiens. Un index des passages cités et des matières termine ce volume intéres- P. L.

sant.

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Nous avons signalé, l'an dernier, le bon livre de M. Joseph SICKENBERGER, sur Titus de Bostra. Ce jeune savant nous donne maintenant le résultat de ses recherches sur la chaîne la plus importante pour l'édition de Titus: Die Lukaskatene des Niketas von Herakleia (Leipzig, Hinrichs, 1902; Texte u. Untersuchungen, neue Folge, VII, 4; vIII-118 pp. in-8°; prix: 4 mk.). Nicétas fut probablement skenophylax de Sainte-Sophie à Constantinople; il fut ensuite diacre et didaskale à la même église vers 1080. Il a été en correspondance avec Théophylacte de Bulgarie et avec Nicétas Stethatos, élève de Siméon le jeune. Peut-être étant skeuophylax, il a écrit ses scolies sur les seize discours de Grégoire de Nazianze. Étant diacre, il a compilé des chaînes de Matthieu et de Jean, et ensuite cette chaîne sur Luc, rendue si intéressante par les citations de Titus de Bostra. Enfin, il devint évêque d'Héraclée et dut à cette époque écrire ses poèmes didactiques sur la grammaire et le vocabulaire. Les réponses canoniques, mises sous le nom de Nicétas d'Héraclée, peuvent appartenir à un évêque homonyme. Certainement il n'a jamais été évêque de Serrai, et le nom Nixńtas ó toũ Zepp@v, se rapporte à un autre personnage, son oncle, probablement. Tels sont les résultats auxquels

M. S. aboutit, en se fondant sur des documents inédits qu'il publie en partie. Ii accepte la conclusion de M. Lietzemann, que la chaîne sur Job, publiée par Du Jon (Iunius) à Londres en 1634, n'est pas de ce Nicétas. La chaîne de saint Luc contient des extraits de Philon, Ignace, Flavius Josèphe, Justin, Irénée, Clément d'Alexandrie, Hippolyte, Origène, Cyprien (lequel ?), Jules Africain, Denys d'Alexandrie, Méthode d'Olympe, le pape Silvestre I (apocryphe), Eusèbe de Césarée : voilà pour les temps d'avant Nicée. Les théologiens postérieurs, surtout les Cappadociens, ont été encore plus exploités. Il y a en tout 66 auteurs cités, sans compter les fragments anépigraphes ou anonymes. Mai, dans le tome IX de sa Noua Collectio, avait publié les fragments de 33 auteurs en 1837. Son manuscrit était le meilleur de tous, le Vat. 1611, de 1116. M. Sickenberger a recherché les autres manuscrits complets et partiels et établi leur rapport. Il joint à cette étude des échantillons d'édition. Tout fait bien augurer de la suite de ses travaux. - P. L.

- M. F. Loofs publie le premier volume d'une Symbolik oder christliche Konfessionskunde, dans la collection du Grundriss der theologischen Wissenschaften (Tübingen u. Leipzig, Mohr (P. Siebeck), 1902; xv-430 pp. in-8°; prix : 6 mk. 60). Ce volume contient une introduction historique, qui est l'histoire des symboles, symboles romains, symboles orientaux, symbole de Nicée-Constantinople. Vient ensuite une analyse des confessions et une histoire de leur formation. M. Loofs n'étudie dans ce volume que les églises orientales et le catholicisme occidental, entendez l'église romaine. Ce livre est écrit, sauf l'introduction, surtout au point de vue de l'état actuel des églises. — P. L.

- Dans un mémoire, bourré d'indications intéressantes, Philologische Studien zu Clemens Alexandrinus, Ac. de Bavière, Abhandlungen, XXI, 3. München, Franz, 1900; 74 pp. in-4o, M. W. CHRIST étudie l'attitude de Clément vis-à-vis de la science et de la culture, ses citations poétiques, ses renseignements chronologiques. Il examine les citations contenues surtout dans Strom. I, 21; V, 14; II, 2; Protrept., 6. La connaissance des tragiques grecs et des falsificateurs anciens profitera de ces discussions. Pour répondre aux assertions des anciens poètes, principalement aux assertions mythologiques, leurs vers ont été altérés à une époque récente et on trouve cette refonte tendancieuse dans Clément et dans Justin. M. Christ précise les rapports de Clément avec Tatien, un gnostique ou un docète du nom de Julius Cassianus, Denys d'Halicarnasse, Apollodore, Kastor et Thallus. Cette partie sera d'une grande utilité pour une étude générale des chronographes. P. L.

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— M. Adolf JACOBY publie : Ein bisher unbeachteter apokrypher Bericht über die Taufe Jesu, nebst Beiträgen zur Geschichte der Didaskalie der zwölf Apostel u. Erläuterungen zu den Darstellungen der Taufe Jesu (mit acht Abbildungen; Strassburg, Trübner, 1902; vi-107 pp. in-8°). Il publie d'abord un document intitulé : Περὶ τῆς ἐπιφανείας τοῦ Κυρίου ἐκ τῶν ἀποστολικῶν διατάξεων. M. J. en donne une édition critique d'après sept manuscrits. On y trouve les dates de la vie du Christ, par jour, mois et heure; Cotelier, Patres apostolici, I, 314, avait déjà fait connaitre un texte analogue d'après le Regius 1819. Les mêmes données se trouvent ailleurs. M. J. croit que les dates horaires sont seules primitives. Il recherche les combinaisons qui ont pu fixer les quantièmes : 25 mars, conception; 25 dec., naissance; 6 janv., baptême; 23 mars, crucifixion (25, résurrection); 3 mai, ascension. M. J. suppose admis généralement que le 25 déc. a été déterminé d'après la date de la conception, le 25 mars. Ce n'est pas tout à fait exact; cf.

Duchesne, Origines du culte chrétien, pp. 250 suiv. Le 25 mars a joué un rôle, mais plutôt comme date de la résurrection; elle a été ensuite la base de tout un calcul. M. J. a d'ailleurs rassemblé beaucoup de textes intéressants; mais ces textes paraissent être d'époque assez basse. L'hypothèse que le Barbarus Scaligeri a dû utiliser un évangile apocryphe a été déjà proposée dans la Revue critique. M. Jacoby ne tient pas assez compte des courants liturgiques. Il est certain que la date du 25 déc., pour la naissance, ne peut être ancienne en Orient. La plus grande partie de la brochure est consacrée aux détails donnés sur le baptême du Christ par le Chronicon pascale, p. 420 suiv.: le Jourdain s'écarte, le courant s'arrête sur l'ordre de Jean, les eaux bouillonnent, le SaintEsprit paraît comme une colombe de feu. Ces traits empruntés à un apocryphe ont eu du succès. M. Jacoby les suit dans les textes, la liturgie et les monuments. Il y a là, comme dans toute la brochure, quantité de renseignements intéressants. L.

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- Les Mélanges archéologiques-épigraphiques ayant cessé de paraître avec le tome XX, il a paru aux éditeurs de cette Revue qu'll serait utile de publier une table générale de son contenu. Cette table (S. FRANKFURTER, Register zu den archaeologisch-epigraphischen Mittheilungen aus Oesterreich-Ungarn, Vienne, Hölder, 1902, in-8°, 12 marks) est conçue suivant la méthode actuellement usitée et se divise en différents indices: 1° Auteurs; 2o Matières; 3o Inscriptions et là on a fait, à la façon des Corpus, de multiples sous-divisions; 4° Figures dans le texte et hors du texte. Naturellement ce fascicule est appelé à faciliter singulièrement les recherches dans les vingt volumes de la publication. — R. C.

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- Parmi les différentes publications qui ont eu lieu à l'occasion des fêtes à Mayence du cinq centième anniversaire de la naissance de Gutenberg, il nous faut signaler le Gutenberg, par M. K.-G. Bockenheimer (in-8° de 116 pages) et le von Ruhme Johannes Gutenbergs, de M. Heinrich Heidenheimer (in-8° de 87 pages, Mainz, H. Prickarts, 1900). Ces deux ouvrages étaient destinés au grand public allemand, mais les érudits en tireront aussi quelque profit: ils y trouveront bien condensés et présentés avec art les résultats de toutes les recherches faites jusqu'en 1900 sur le célèbre inventeur de l'imprimerie et sur la réputation qu'il a laissée dans le monde. Ils y rencontreront même le récit de faits très peu connus jusqu'alors. Si depuis le moment de leur apparition, on a pu mieux préciser certains détails de la vie de Gutenberg, si on a même découvert des débris de ses premiers travaux typographiques et si l'on a pu faire remonter plus haut qu'on ne pensait ses débuts, il n'en reste pas moins vrai que les brochures de MM. Bockenheimer et Heidenheimer resteront comme indice à un moment donné de nos connaissances historiques sur Jean Gutenberg. — L.-H.-C.

- C'est pareille œuvre de vulgarisation qu'a entreprise M. Carl-Christophe BERNOUILLI avec son Geistiges Leben und Buchdruck zu Basel in der zweiten Hälfte des fünfzehnten Jahrhunderts (in-4°, paginé de 219 à 272).

Il y traite de la fondation de l'Université de la ville de Bâle (4 avril 1460), du régime des étudiants, de l'enseignement donné, des savants qui illustraient alors cette cité, tels que Sébastien Brant et Jean Heynlin; puis, de l'introduction de l'imprimerie, dont la date reste toujours assez difficile à déterminer, de la condition des principaux imprimeurs, de leurs migrations à l'étranger, des différents travaux qu'ils ont exécutés et des préférences qu'ils avaient pour tels ou tels labeurs; enfin, de la confection des livres, de leur reliure et de leur vente. Un si vaste sujet, qui aurait prêté à de nombreux développements, a été présenté ici en un raccourci des plus intéressants. L.-H. LABANDE.

- M. C. GODARD a pris pour sujet de thèse latine : De Stephano Baluzio Tutelensi libertatum Ecclesiae gallicanae propugnatore; Parisiis, L. Larose; 1901, XVI123 pp. in-8. C'est une matière intéressante. On y voit Baluze prenant auprès de Pierre de Marca ses principes antiromains et les établissant sur une connaissance du droit canon et de l'histoire ecclésiastique qu'il étendra pendant tout le cours de sa vie. A la mort de Marca, il se croit chargé par le défunt d'achever et de publier ses œuvres, surtout ce De concordantia sacerdotii et imperii qui fut si désagréable à la cour de Rome. Malgré les protestations de Faget, il poursuit cette tâche avec moins de réserve que ne l'eût fait sans doute Marca: ce personnage avait promis de corriger ses œuvres et désavoué ses assertions pour obtenir un évêché (voir cette rétractation, p. 13). Baluze, plus prudent et plus digne, sollicita du roi les bénéfices qu'il ne voulait pas acheter du pape au prix de son indépendance. Chacun de ses ouvrages contient une démonstration des thèses gallicanes et montre les empiètements croissants des papes aussi bien sur le pouvoir des évêques que sur celui du roi. M. G. donne ces indications sous une forme sèche et ingrate qui peut empêcher de voir le grand intérêt de ces questions. Qu'il s'agisse des pouvoirs des légats, auxquels on ne reconnut jamais en France de juridiction ecclésiastique et qui furent maintenus dans leur mandat de ministre étranger, ou que Baluze fasse l'histoire des conciles provinciaux et montre leur dépendance vis-à-vis du pouvoir royal, ces vieilles discussions éclairent l'histoire et n'ont pas perdu toute leur portée. Mais ce qui est peut-être le plus curieux dans le mémoire de M. G., c'est de voir Baluze, bibliothécaire de Colbert, devenir pour le ministre de Louis XIV une sorte de secrétaire et de consulteur dans les matières ecclésiastiques. Colbert lui demande des renseignements tantôt sur les hérésies, tantôt sur les conciles provinciaux, tantôt sur les fêtes des saints, tantôt sur les droits du roi à l'égard des monastères. M. G. a tiré des manuscrits de Baluze un certain nombre de lettres de Colbert, et il a publié également des mémoires de Baluze sur le droit du roi à limiter le nombre des moines (« Plus il y a de moines, moins il y a de sujets qui servent l'état », p. 75; « on dira que... il y aura moins de moines; à quoy on peut répondre qu'il y en aura toujours assez », p. 78); sur les conciles provinciaux (deux mémoires; Baluze montre en même temps que les empereurs ont convoqué les conciles généraux, en ont déterminé l'objet, en ont dirigé les débats et ont sanctionné leurs décisions); sur « les prieurez et autres benefices despendans de la collation des abbez, dont Sa Majesté pourroit attirer à luy le droict de les donner durant la vacance des abbayes ». Une des pièces les plus curieuses est l'œuvre d'un jésuite qui fut sans doute soumise à l'appréciation de Baluze par le ministre : « Quelle règle doit-on suivre maintenant en la comté de Bourgogne pour la disposition des bénéfices tant des conventuels que des ruraux ». Le jésuite défend le « droit royal » par des raisonnements et en quelque sorte d'une manière métaphysique. Le prudent et positif Baluze trouve que l'auteur a tort de ne pas alléguer les textes juridiques et canoniques : « Comme les points de discipline, quoy qu'en dise cet auteur, se doiuent plustost régler par les Canons et par l'usage que par des raisonnemens, ce traitté qui n'est fondé que sur des consequences, ne peut pas estre fort solide ». P. 119. Enfin, les historiens de notre littérature trouveront une consultation de Baluze sur le Tartuffe, condamnant la condamnation portée par l'archevêque de Paris (p. 69). — L. S.

- M. Maurice CAMPAGNE a réuni dans une brochure de 85 pages in-8° un certain nombre de Notes et documents sur les paroisses de Saint-Pierre de Nogaret et Saint-Martin-de-Bistauzac, au diocèse d'Agen (Bergerac, J. Castanet, 1902).

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