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d'ouvrages. Nous recevons le commentaire que M. Lud. HÜTER vient de composer pour la 3e édition de l'Ajax de Sophocle donnée par M. Fr. Schubert en 1894. Ce commentaire est l'œuvre d'un homme compétent qui sait ce qu'il faut pour les classes; il donne l'indispensable. — A. M.

- La collection de classiques grecs et latins, avec notes italiennes, publiée par la maison E. Löscher de Turin, s'est enrichie de trois nouveaux volumes; il est vrai que deux de ces volumes ne sont que des rééditions. Nous sommes dans des conditions assez défavorables pour les juger; car, ne connaissant pas les premières éditions, nous ne pouvons pas dire en quoi les secondes en diffèrent et faire le départ entre ce qui appartient au premier éditeur ou à son successeur. M. Giuseppe FRACCAROLI s'est acquitté, dit-il, d'une sorte de devoir filial en revisant l'édition de Lysias donnée par Eugenio Ferrai dont il a été l'élève (Lisia, Orazioni scelte, vol. primo, le accuse d'Eratostene et d'Agorato, XII-XIII, 1902, un vol. in-8° de XLVII 132 pages). M. Fraccaroli déclare qu'il n'a pas touché à la longue introduction composée par M. Ferrai; il a seulement fait des changements dans le texte; ces changements, en général, ne nous semblent ni bien importants, ni bien justifiés. Le commentaire est bon, un peu trop scientifique pour un ouvrage destiné aux classes. A. M.

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Si M. Fraccaroli n'a fait que de légers changements au livre de M. Ferrai, M. Domenico BASSI déclare, au contraire, qu'il a complètement remanié l'ouvrage dont on lui a confié la réédition (Demostene, Le tre orazioni contro Filippo, illustrate da Girolamo Bertolotto, seconde éd., 1902, un vol. in-8° de xxxп-90 p.). M. B. suit, en général, le texte de M. Weil; à la fin du volume, il indique les corrections qu'il a acceptées, en les discutant quelquefois. Ces quelques pages de courtes discussions critiques font bonne impression. Le commentaire paraît très suffisant. Dans l'exposition, où sont exposées la vie et la politique de Démosthène, on est étonné de ne pas voir mentionné un événement aussi important que la querelle du grand Orateur avec Midias ; on désirerait aussi que l'auteur eût exposé le programme politique des adversaires de Démosthène; il aurait été bon de faire connaître aux élèves pour quelles raisons Eschine renvoie à Démosthène l'accusation de trahison à la patrie. — A. M.

- M. C. O. ZURETTI poursuit la publication de son édition de l'Iliade (Omero, l'Iliade, vol. 5, liv. XVII-XX, 1903, un vol. in-8° de x11-173 p.). Comme nous l'avons déjà dit, le commentaire a un caractère surtout psychologique et moral, c'est-à-dire que l'auteur s'applique de préférence à expliquer les sentiments que le poète prête à ses personnages, à noter l'effet, la sensation que telle expression doit produire sur l'esprit du lecteur. Dans l'introduction, M. Z. exprime ses idées sur le bouclier d'Achille; la question est à l'ordre du jour depuis Reichel; M. Z. a lu l'ouvrage récent de Robert; il combat avec raison une partie de ses explications; pour Z., le bouclier est ionien non mycénien, mais cela ne veut pas dire que cette description n'ait pas fait partie du plan primitif du poème. - A. M.

Nous recevons la deuxième édition de La vie antique, Manuel d'archéologie grecque et romaine, traduit sur la 4o édition de E. GUIL et W. KONER par M. F. TRAWINSKI, Ire partie, Grèce, un vol. in-8° de xxvш-472 p., Paris, L. Laveur. La première édition de cette traduction a paru, il y a une vingtaine d'années. C'était le moment où pour faire entrer plus complètement dans notre enseignement l'étude de la philologie et de l'archéologie, on ne trouvait rien de mieux que de traduire les principaux ouvrages de vulgarisation savante qui avaient été publiés en Allemagne. A ce titre, le manuel Guhl et Koner était tout indiqué.

Deux hommes, qui ont l'un et l'autre grandement contribué au relèvement des études en France, Albert Dumont et O). Riemann, s'étaient intéressés à cette traduction. Le premier écrivit une préface qu'on lit encore avec plaisir, le second fournit des notes au traducteur. M. Trawinski à son tour s'était acquitté de sa tâche avec du soin et de la compétence. Le succès répondit à tous ces efforts; l'Académie française accorda un de ses prix à l'ouvrage, et aujourd'hui une nouvelle édition est devenue nécessaire. Aura-t-elle le même succès que la première ? Nous en doutons. Il est infiniment regrettable qu'une question d'économie ait décidé le libraire-éditeur à faire la nouvelle édition sur les clichés de l'ancienne. Nous n'avons pas en réalité une édition nouvelle, mise au courant des progrès que la science a faits dans ces vingt dernières années; nous avons une réimpression de l'édition de 1882 avec quelques changements insignifiants; les quelques paragraphes ajoutés à la fin du volume ne suffisent pas pour rajeunir l'ouvrage, ce qui était absolument nécessaire. Albert MARTIN.

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Depuis que l'Académie hongroise a édité les « Sources de l'occupation du pays » (A magyar honfoglalás kutföi) un énorme volume in-4°, de 877 pages (1900) où M. Vári a publié les sources byzantines, notamment le fameux chapitre XVIII de la Tactique de Léon le Philosophe, philologues et historiens magyars s'occupent à l'envie de ce document contemporain de la prise de possession du pays. M. Jules GYOMLAY dans la brochure qu'il vient de publier: La Tactique de Léon le philosophe comme source de l'histoire magyare (Bölcs Leo taktikája mint magyar történeti kutforrás. Budapest, Académie, 1902. 68 pages) dénie à ce fameux chapitre toute valeur documentaire. Voici son raisonnement. Il est connu que la tactique de Léon est copiée sur celle de Maurikios qui fut composée entre 582 et 602. Peut-être Maurikios lui-même a-t-il écrit ce traité vers 580 lorsqu'il était général des parties orientales de l'Empire byzantin, mais il est plus probable qu'il fut rédigé, dans son esprit, vers la fin du vie siècle. Le chapitre intitulé Op6ixiou Thoux, intercalé dans le chapitre XII de la Tactique de Maurikios, fut écrit sous le règne d'Anastase I (Dikoros) à la fin du vo siècle et ne fut ajouté que plus tard aux manuscrits de Maurikios. Donc, si Léon a pris comme source pour sa description de la manière de guerroyer des anciens Magyars le Traité d'Urbikios, nous avons dans son fameux chapitre XVIII des renseignements très exacts sur les tribus Avares du vi siècle, mais nullement sur les Magyars des 1x et xe siècles, à moins qu'on démontre que la façon de vivre et de combattre des Magyars ne différait pas, à trois siècles de distance, de celle des Avares. — J. K.

Après avoir achevé ses études sur Virgile, M. NÉMETHY aborde maintenant les Élégiaques romains, notamment Gallus, Tibulle et Properce. Dans un mémoire présenté à l'Académie hongroise sur les Rapports de l'élégie romaine avec celle des Grecs (A rồmai elegia viszonya a göröghöz. Budapest, Académie, 1903. 28 pages), il donne un aperçu général du volume qu'il veut consacrer aux Élégiaques romains. Il combat l'opinion de ceux qui prétendent que Gallus avait pris comme modèle Euphorion, tandis que Tibulle et Properce s'inspirèrent de Philetas et de Callimaque. Euphorion n'a pas écrit d'élégie et surtout pas d'élégies érotiques dont Gallus était le premier représentant original chez les Romains. Philetas et Callimaque quoiqu'ils eussent écrit des élégies érotiques n'exprimaient pas leurs sentiments propres, mais composaient des récits mythiques à sujet érotique. L'élégie lyrique est donc une création romaine et dans cette création la part de Gallus était très grande. - J. K.

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L'Ancienne Bibliothèque hongroise dirigée par M. Gustave Heinrich, a repris, après une interruption de deux ans, ses publications. Le fascicule n° XX nous apporte Epines et Fleurs de François KAZINCZY (Tövisek és virágok, édité par Joseph BALASSA. Budapest, Franklin; 1902. 100 pages). C'est un recueil de quarante-trois épigrammes que le grand réformateur de la langue et de la prosodie hongroises fit paraître en 1811, avec cette devise bien significative, tirée de Goethe: Werke des Geists und der Kunst sind für den Pöbel nicht da. Les Epines étaient destinées à ceux qui n'acceptaient pas les réformes du maître, les fleurs étaient offertes à ses adeptes. Nous avons là un recueil analogue aux Xénies de Schiller et de Goethe, recueil qui a certainement inspiré Kazinczy, quoiqu'il s'en défende. Voulant affiner le goût de ses contemporains, il poursuivait surtout de ses sarcasmes les membres de l'École populaire qui ne voulaient pas accepter ses théories empruntées à Weimar. M. Balassa a fait précéder ce recueil d'une Introduction qui nous apprend la genèse des épigrammes; il y a ajouté un commentaire très savant et fort utile, car beaucoup d'écrivains malmenés par Kazinczy sont aujourd'hui tout à fait inconnus. Dans l'Appendice nous trouvons les Notes que Kazinczy avait préparées en vue d'une seconde édition; la critique très élogieuse de Jean Kis, parue en allemand dans les « Annalen der Literatur und Kunst in dem oesterreichischen Kaiserthume « (1811), celle de Charles Rumy (Allgemeine Literatur Zeitung, Halle et Leipzig, 1812) qui à cette époque fit connaître la littérature magyare dans quelques périodiques allemands; finalement celle de Paul Szemere parue dans «< Aspasia » (1824). Le recueil de Kazinczy fut déjà réimprimé en 1836, 1858, 1879 et 1895.

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Le fascicule suivant (n° XXI) nous donne de l'inédit, mais de peu de valeur littéraire. Ce sont quatorze Drames scolaires protestants (Protestásniskoladrámák' édités par Louis BERNÁTH. Budapest, Franklin, 1903. 410 pages). L'éditeur a appelé l'attention des historiens de la littérature sur ces dialogues inédits, dans un article des Irodalomtörténeti közlemények (1899); aujourd'hui il nous en donne le texte en l'accompagnant d'une introduction. La pièce scolaire fut cultivée par les protestants dès le xvIe siècle; il était écrit en magyar. Au siècle suivant les Jésuites l'introduisent dans leurs écoles, mais en latin. Les protestants les imitent. Ce n'est que dans la deuxième moitié du xvII° siècle que ces exercices deviennent de nouveau magyars, aussi bien chez les catholiques que chez les protestants. Les sujets traités sont tirés de l'antiquité ou de la vie quotidienne. Dans le recueil de M. Bernáth, fait d'après deux manuscrits conservés dans les lycées réformés de Kun-Szent-Miklos et de Sárospatak, nous trouvons les pièces suivantes: 1o La triste histoire de Phédre, dialogue assaisonné d'obscénités et de grossièretés (par exemple, vers 229 et 230, 245 et 246, 270, 279, 316) qui empêcheront ce volume de pénétrer dans les lycées; 2o Histoire de Pandore; 3° Histoire de Didon qui n'est que la paraphrase du chant de l'Énéide; 4o Histoire tragique de Turnus; 5° Florentina, une moralité sur la supériorité du sexe faible sur le sexe fort; 6o L'exil d'Ovide, avec un dialogue très amusant entre le poète romain et deux Gètes; Ovide parle en latin, tandis que les Gètes, c'est-à-dire les paysans hongrois, le tournent en ridicule en magyar, parce qu'ils le prennent pour « un Allemand muet »; 7° Thetis et Lyée dont l'original est le « Goliae dialogus inter aquam et vinum » de Gautier Map. Nous savons que son recueil : « De Nugis Curialium »> nous a conservé le nom d'un étudiant magyar à l'Université de Paris aux environs de 1150; 8° Comoedia de Artibus; 9° Tragaedia Valedictionaria; 10° Critique des poètes; 11° Dialogue entre un Tzigane et un élève; 12° Comédie

et Tragédie (la légende d'Oedipe); 13° Dialogue entre trois pátres; 14o Enée et Didon, Toutes ces pièces, qu'on jouait dans les écoles au XVIIIe siècle, faute de théâtre, sont très faibles à tous les points de vue. — J. K.

XXXIII et

- M. Jean Váczy vient de publier le XII volume de la Correspondance de Kazinczy (Kazinczy Ferencz levelezése. Budapest, Académie, 1902. 652 pp. in-8°). Ce volume contient les lettres échangées entre Kazinczy et ses correspondants du 1er août 1814 au 30 juin 1815; elles se rapportent, en grande partie, aux traductions du grand réformateur. Nous savons que les traductions de Kazinczy ont rendu plus de service à la littérature naissante que ses œuvres originales. Il y déployait de grandes qualités de styliste et a su donner de la souplesse à un idiome encore bien primitif. Il a traduit principalement des œnvres allemandes (Gessner, Lessing, Herder et Goethe) mais on lui doit également un choix des Contes moraux de Marmontel, que Báróczy avait traduits dès 1775, puis les Maximes de La Rochefoucauld et deux comédies de Molière : Le Médecin malgré lui et Le Mariage forcé. Nous trouvons dans ce volume quelques détails intéressants sur la vie des écrivains magyars. Faute d'un centre littéraire, ils vivaient dispersés dans le pays et Kazinczy, grâce à son énorme correspondance, dirigeait le mouvement littéraire. Cette correspondance que M. Váczy édite avec tant de patience, forme la IIIe série des Euvres complètes de Kazinczy; les deux premières donneront les œuvres originales et les traductions. — J. K.

- Le XIIe volume de la Revue d'histoire littéraire, rédigée par M. Aron Szilády (Irodalomtörténcti Közlemények, Budapest, 1902. 538 pages) contient quelques travaux qui méritent d'être signalés. Alexandre Körösi dans ses quatre articles sur Zrinyi et Machiavel démontre le grand ascendant que l'écrivain italien exerca sur le héros hongrois. On savait tout ce que l'auteur de la Zrinyade (1651) devait au Tasse; M. Körösi nous montre maintenant que les œuvres politiques et stratégiques de Zrinyi sont pleines de réminiscences et d'emprunts faits à Machiavel. Ernest Császár examine les traductions magyares des Psaumes faites par les protestants aux xvio et xvii° siècles; François Szinnyei nous donne la première biographie détaillée d'Ignace Nagy (1810-1854) connu surtout pour sa comédie : « Élection des fonctionnaires » où il fustige les mœurs électorales et par ses nombreux romans. Zoltan Ferenczi, après avoir donné la biographie de Petöfi en trois volumes (1896) commence à étudier le grand lyrique hongrois au point de vue esthétique. Son étude s'intitule: Petőfi et la femme.-Guillaume Tolnai examine les sources de quelques poèmes épiques d'Arany. Étienne Hegedüs retrace, d'après la biographie de Marchesi (Catane, 1900) les rapports de Bartolomeo della Fonte, humaniste italien, avec la Cour de Mathias Corvin. Della Fonte était attaché pendant un an, à la célèbre Corvina. La Revue donne, en outre, de nombreux documents inédits. entre autres ceux qui se rapportent à Ladislas Amadé, poète lyrique du xvIII° siècle. -J. K.

Le XXXII. volume de la Revue de philologie (Nyelvtudományi Közlemények, rédigée par Joseph Szinnyei, Budapest, 1902. 484 pages) entièrement consacrée aux études finno-ougriennes, donne la suite des études de M. B. Munkácsi sur les anciennes croyances des Vogouls, tribu parente des Magyars; Jean Melich étudie, dans une série de quatre articles, les Mots slaves en magyar; il combat les théories de M. Asboth; Balassa et Szinnyei cherchent une méthode pour la transcription phonétique des langues finno-ougriennes; E. Kalmár a quatre articles sur les Adverbes magyars; H. Paasonen donne des étymologies votïakes et turques; B. Munkácsi des contributions à l'étude des Éléments turcs et mongols

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REVUE CRITIQUE D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

dans la langue magyare. Parmi les comptes rendus sur les principaux ouvrages linguistiques parus en Europe, nous signalons les analyses très détaillées des Indogermanische Forschungen de Gédéon Petz. — J. K.

-

Le XXX volume du Gardien de la langue rédigé par Sigismond Simonyi (Magyar Nyelvör. Budapest, 1902. 600 pages) contient de nombreuses notices qui se rapportent toutes à la langue, à la poésie populaire et au folklore magyars. Ces notices sont ordinairement très courtes; on trouve cependant, dans ce volume, quelques études plus développées, ainsi celle de M. Simonyi sur l'Ordre des mots en magyar, celle de Zoltán Gombocz sur l'Histoire des langues et la psychologie, celle de Louis Katona sur les Contre-sens dans les traductions magyares du Codex-Ehrenfeld. Les anciens collaborateurs MM. Szily, Joannovics, Melich, Asboth, Tolnai et Hugo Schuchardt, un des rares savants allemands qui s'occupent de philologie magyare, ont donné des contributions intéressantes sur certains vocables. Les comptes rendus sont généralement sévères, car le Nyelvör veille avec soin à la pureté de la langue. La Revue prépare, pour ainsi dire, les grands travaux lexicologiques magyars et donne de nombreuses notices sur les patois et sur les croyances populaires. J. K.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 24 avril 1903.

M. le Dr Hamy donne lecture d'une lettre de M. Auguste Chevalier, sur les résultats de sa mission dans la région du Chari.

M. Héron de Villefosse présente une aquarelle représentant la prétresse carthaginoise découverte en décembre dernier par le R. P. Delattre. Cette statue couchée sur un couvercle de sarcophage est rehaussée de peintures très vives et très délicatement exécutées. E. Renan, dans sa Mission de Phénicie, disait, en rappelant les sarcophages anthropoïdes de Palerme et de Solonte dont les peintures ont disparu : « Il serait capital de trouver un sarcophage du genre de ceux dont nous parlons avec toutes ses peintures. » Ce vœu est aujourd'hui réalisé.

M. Perrot, président, annonce que M. le duc de Loubat lui a remis, pour les fouilles de Délos, une nouvelle somme de 20,000 francs, qui, ajoutée aux trois dons de 10,000 francs déjà faits par le correspondant de l'Académie, porte cette subvention à 50,000 francs.. M. Perrot remercie M. le duc de Loubat au nom de l'Académie et au nom de l'Ecole française d'Athènes, qui vient d'être dotée, ainsi que l'Ecole de Rome, de la personnalité civile.

M. Charles Joret lit une note du Dr Bonnet, attaché au Muséum d'histoire naturelle, sur les peintures d'un manuscrit de Dioscoride conservé à la Bibliothèque nationale (grec 2179).

M. Louis Havet signale dans les comédies de Plaute plusieurs passages qui constituent des interpolations dues à un Grec.

Léon DOREZ.

Propriétaire-Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie Régis Marchessou, 23, boulevard Carnot

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