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reculé heureusement devant Traoutenaou.

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Pour donner l'impression de la réalité, il emploie, dit-il, les termes géographiques tchèques ou allemands, selon que la majorité de la population est tchèque ou allemande : mais, outre que les noms allemands sont presque francisés par l'usage ainsi Pilsen, que

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M. Denis ne réussira pas à remplacer par Plzein et qu'ils se rencontrent à peu près seuls dans nos atlas, la règle est souvent violée aux dépens de l'allemand: les villes de la Bohême du Nord (1,365), celles de la Moravie, pour la plupart allemandes, sont fréquemment désignées par leurs noms tchèques. Dans ces conditions, n'eût-il pas mieux valu respecter des habitudes anciennes, et que M. D. depuis vingt-cinq ans qu'il y travaille, n'est pas parvenu à modifier?

Si certaines parties du livre prêtent à la critique, si quelques jugements appellent une révision, ces réserves ne diminuent en rien le très grand mérite de ces deux volumes. Ils couronnent dignement l'histoire de la Bohême moderne dont la thèse de M. D. sur Jean Hus formait, il y a vingt-cinq ans, le commencement: travail considérable et jusqu'ici sans rival. L'autorité de l'historien a grandi à mesure qu'il avançait vers son but. Des recherches nouvelles pourront ébranler son édifice; des documents deviendront accessibles les mémoires de Schmerling ou de Rieger, par exemple qui modifieront sans doute l'aspect de l'histoire contemporaine de la Bohême. M. Denis lui-même, dans sa préface, se défend d'avoir eu l'illusion de faire une œuvre définitive. L'œuvre qu'il a faite restera du moins comme un modèle de science et de conscience, de probité scientifique et de talent '.

Louis EISENMANN.

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1. Quelques remarques de détail. T. I. 15, 53, 70, 121: Béthlen Gábor ou Gábor tout court; pourquoi ne pas dire Gabriel B? 106- : Deák et les conservateurs hongrois; expression un peu équivoque : D. n'est pas conservateur. 294 le texte cité de Bidermann n'est pas si affirmatif. 304 la traduction trop libre fausse le sens du texte cité. - 393-4: le passage sur la Hongrie n'est pas tout à fait exact. -401-2 M. D. ne dit pas que la Pragmatique Sanction n'a pas le même caractère en Hongrie et dans les autres pays, contrat bilatéral d'un côté, acte unilatéral de la volonté souveraine de l'autre; cependant, cette différence est à la base du dualisme. — 437: Windischgrätz, lapsus pour Schwarzenberg. T. II. 34: le titre et la référence de l'ouvrage de Beidtel sont inexactement donnés: Gesch. der öst. Staatsverwaltung, II. 44. - 182: Joseph, lapsus pour Etienne. -249-50: c'est la cour elle-même qui a fait les concessions à la Hongrie ; toute l'explication de M. D., trop simpliste, ne tient pas assez compte de la complexité de la situation. 320 (cf. aussi 625): M. D. intervertit le sens ordinaire des termes «< autonomiste» et « fédéraliste ». 325 François Stadion, lapsus pour Rodolphe S.361 (cf. aussi 471): droit d'Etat tchèque au lieu de bohême; confusion qui a son origine en tchèque. 424 le rôle de Szécsen est prêté à Clam. 430 à en juger par leurs discours, leurs écrits et leurs actes, Perthaler était au contraire plus Allemand, et Lasser plus Autrichien. 494 l'histoire de la déclaration de

guerre de l'Autriche en 1866 est tout autre.

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497 le récit ne donne pas une idée

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L'Académie hongroise a fait traduire les trois volumes suivants : 1° Henri Friedjung: Der Kampf um die Vorherrschaft in Deutschland (Harcz a német hegemoniáért, par JUNIUS, d'après la 5e édition allemande; Budapest, Académie, 1902. Tome I. 392 pages). L'auteur y raconte les événements de 1859 à 1869, surtout la lutte entre l'Autriche et l'Allemagne. 2o Robert Southey: La Vie de Nelson (Nelson életrajza, par A. REMÉNYI. — 428 pages). L'ouvrage date de 1813 et, à ce que dit le traducteur, il ne manque dans la bibliothèque d'aucune famille anglaise. Pour le mettre à jour, M. Reményi a ajouté de nombreuses notes pour lesquelles il a utilisé les principaux ouvrages sur Nelson et sur les guerres maritimes en général (Chabaud-Arnault, Troude, Jurien de la Gravière et de nombreux travaux anglais). — 3o A. V. Dicey: Introduction in the law of the Constitution, 1885 (Bevezetés az angol alkotmányjogba, par Jean Tarnai. 412 pages). Cet ouvrage dont une traduction française a paru en 1902, montrera aux lecteurs magyars la grande parenté de la vie constitutionnelle anglaise et de la leur. — J. K. – M. F. GYALUI fait, depuis cette année, à la Faculté des Lettres de Kolozsvár un cours de bibliographie et de service de bibliothèques. Cet enseignement n'est pas encore organisé en Hongrie. Dans une brochure sur le but et les devoirs de cette science en Hongrie (A Könyvtári tudományok célja és feladata Magyarországon. Kolozsvár, 1903. 25 pages). M. Gyalui passe en revue ce que les autres pays ont déjà fait dans ce domaine (il cite le cours de M. Ch. V. Langlois à la Sorbonne et celui de M. Martel à l'École des Chartes) et constate que la Hongrie quoiqu'elle possède de nombreuses bibliothèques d'après la dernière sta tistique: 2250, dont 129 grandes bibliothèques, mais seulement 25 à 30 publiques - n'a pas encore bien organisé le service. Maintenant que le gouvernement a institué une Commission des Musées et des Bibliothèques, que le Musée national de Budapest consacre sa revue: Magyar Könyvszemle et son Annuaire : Magyar Minerva à cette cause, il espère que l'organisation méthodique s'étendra bientôt, de la capitale à la province où les réformes sont devenues urgentes. J. K.

sen.

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- Publications scandinaves. Ont paru à la librairie Gyldendal, à Copenhague les fascicules 15-19 de l'excellent Dictionnaire anglo-dano-norvégien de J. Brynildsen, revu par Joh. Magnussen, avec la prononciation figurée par Otto Jesper A Christiania, 1902 (chez Jac. Dybwad), le premier fascicule, in-8° de 144 p., du deuxième volume des Historiske Samlinger éditées par le « Comité des sources de l'histoire de la Norvège ». Ce fascicule contient un certain nombre de documents pour l'histoire de la Norvège en 1814 recueillis par Ludwig Daae. Ce sont le journal du capitaine, plus tard adjudant-général Ole Elias Holck; des lettres du curé Soren Tybring sur la diète extraordinaire de 1814; le journal du curé, plus tard évêque, Dr. Jacob Neumann, sur cette même diète de 1814; des lettres de Christen Pram et de l'évêque J. N. Brun. Enfin un supplément aux

exacte de la différence du programme entre Belcredi et Beust. 551 les choses ne se sont pas passées si facilement en Hongrie en 1878; il y a eu une crise ministérielle, M. de Széll a donné sa démission. 597: la couronne reviendra à l'archiduc Otto avant ses fils. - 647 le point de vue des socialistes dans la question des ordonnances est inexactement exposé: ils protestaient contre le principe du droit historique, pour le droit naturel, et contre le règlement par l'exécutif seul d'une question si importante. 663: Cracovie est encore représentée au Reichsrath par un socialiste. 629-30 dans le ministère de coalition est oublié le nom le plus significatif, celui de M. de Plener, chef de la gauche allemande.

lettres de J. Chr. Berg, publiées dans le premier volume de cette collection. A signaler aussi la thèse de doctorat de M. Vilh. Groenbech, Études préliminaires à l'histoire de la phonétique turque (Copenhague, Lehmann et Stage, 1902. In-8° de 121 p.) et le livre de M. Raphael Meyer, Gerbertsagnet (Copenhague, Det nordiske Forlag, 1902. In-8. de 170 p.). Dans ce dernier ouvrage l'auteur, après un rapide exposé de la civilisation au xe siècle, raconte la vie, puis la légende de ce Gerbert, qui fut le pape Sylvestre II, et la compare ensuite avec les légendes identiques, principalement celle de Faust. L. P.

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- Peu de mythes germaniques ont été plus discutés que le Ragnarok scandinave. Certains, le tenant pour une combinaison d'idées chrétiennes, le datent de l'époque des Vikings; d'autres, au contraire, y voient une conception originale qui remonterait aux premiers âges de la race seulement, jusqu'à ce jour, personne ne lui avait consacré d'étude véritablement complète. C'est cette invraisemblable lacune que vient combler l'ouvrage de M. Axel OBRIK (Om Ragnarok. Copenhague, Gad. 1902. In-8°, 135 p.), lequel me paraît ne devoir laisser qu'une bien maigre glane aux mythologues qui voudront encore s'occuper de cette question. M. A. Obrik, après avoir reconnu une à une toutes les sources, non seulement dans l'Edda, mais aussi celles que nous ont conservées les monuments runiques, et surtout dans la tradition, constate plusieurs groupes de croyances très différentes si c'est, selon le Voluspa, le feu qui en un immense incendie doit anéantir le monde, ailleurs ce sont les flots, dit-on, qui engloutiront la terre ou bien un hiver extraordinairement long et rigoureux qui détruira tous les êtres — après quoi un monde nouveau renaîtra, meilleur sans doute que le premier. Les différents phénomènes, qui précéderont ou accompagneront le Ragnarok, sont alors passés successivement en revue: le soleil avalé par un monstre, les dieux luttant contre les géants, etc., etc. Or, tout cela, ce sont autant de croyances pour le moins aussi répandues chez les Celtes que chez les Scandinaves. M. A. Obrik, supposant, avec raison, que ces deux peuples voisins n'ont pas dû arriver fortuitement à un tel ensemble de conceptions si complètement identiques, estime qu'il a dû y avoir emprunt d'un peuple à l'autre, et que ce sont les Celtes qui, vers le début de notre ère, ont donné aux populations du Nord cette idée de la fin du monde. Je ne crois pas à un tel emprunt. A mon avis, les éléments du Ragnarok, se retrouvant chez nombre de Primitifs, ou bien viendraient d'une époque où Celtes et Scandinaves, alors des Primitifs aussi, vivaient encore sous la même tente, ou bien appartiendraient aux Celtes seuls, établis non seulement dans les régions qu'ils occupent de nos jours, mais un peu partout en Europe, voire dans les pays du Nord, où d'autres peuples, venant constituer une nouvelle nationalité, se sont plus tard superposés sur eux, ainsi qu'eux-mêmes l'ont dû faire sur les populations antérieures : dans un cas comme dans l'autre, l'identité fondamentale des croyances s'explique tout naturellement avec aussi les mille divergences de détails issus d'un développement ultérieur. C'est, du reste, une question qu'il est prématuré de vouloir résoudre. Il importe auparavant d'étudier les différents mythes de la fin du monde chez les autres races de l'humanité : ce sera l'objet d'une deuxième partie que nous promet M. A. Obrik et qu'il faut souhaiter de voir paraître bientôt avec un index analytique alphabétique pour l'ouvrage entier.

- Léon PINEAU.

- C'est aussi une très importante contribution à l'étude de la mythologie scandinave que l'ouvrage de M. Friedrich KAUFFMANN sur le mythe de Balder (Balder, Mythus und Sage nach ihren dichterischen und religiösen Elementen untersucht.

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REVUE CRITIQue d'histoire ET DE LITTÉRATURE

passe en revue

In-8° de 308 p. Strassburg, K. Trübner, 1903. Pr. 9 M.). M. Fr. K., qui, dans sa préface, commence par rendre hommage aux mythologues d'Angleterre et de France ce à quoi ses compatriotes ne nous ont guère habitués les différentes interprétations, quelques-unes saugrenues, qui jusqu'à ce jour ont été données de ce mythe et, les ayant toutes rejetées, après un examen très attentif et très minutieux des moindres détails, il s'efforce de prouver que nous n'avons là que l'expression symbolique d'un acte rituel commun non seulement à tous les peuples de race germanique, mais peut-être à tous les Aryens puisque le thème s'en retrouve aussi bien dans l'Inde ancienne que chez les Persans. Et, rappelant combien c'est une coutume répandue dans les religions primitives que de charger un « élu » de toutes les fautes de la tribu ou de la nation, puis de le sacrifier aux dieux, dans les circonstances les plus graves cette victime de choix n'étant autre que le roi en personne, il estime que c'est précisément ce qui serait arrivé à Balder, les dieux n'agissant point autrement dans le Valhal que les hommes ici-bas. La démonstration de M. Fr. K., consciencieusement documentée, abonde en aperçus ingénieux. Sa conclusion est-elle inattaquable? C'est autre chose. Pour ma part, je n'y puis souscrire. Ou, du moins, si je suis tout disposé à admettre que les divers incidents qui marquent la mort de Balder aient pu être imaginés à l'imitation du sacrifice d'un roi chez les anciens Germains, je persiste à croire que Balder lui-même est, non pas un prince de ce monde élevé au rang de divinité, mais un dieu solaire, comme le fut, à l'origine, Sigurd, à qui, du reste, il ressemble étrangement. Aussi bien, la mort de l'un et de l'autre pourrait avoir eu un motif identique, Loki, à qui Balder est sacrifié, me paraissant tout à fait répondre aux puissances infernales des Nibelungen. Léon PINEAU.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 1er mai 1903.

M. Philippe Berger, empêché d'assister à la séance, écrit qu'il a reçu du R. P. Delattre une coupe en plomb, couverte d'ornementations, qui porte une inscription bilingue, phénîcienne et grecque. La partie phénicienne doit se lire le Elim « aux dieux » ou « au dieu ». La partie grecque est plus mutilée; on y distingue pourtant les lettres nau ou pŋaut, qui paraissent désigner soit celui qui a fait l'offrande, soit le dieu auquel elle était faite.

M. Paul Meyer rend compte du Congrès international des sciences historiques qui a récemment tenu des séances à Rome.

M. Louis Havet insiste snr l'importance qu'il y aurait à appuyer un des vœux émis par le Congrès, pour l'unification de la prononciation latine dans les différents pays. M. Bouché-Leclercq indique dans quelles conditions ce vœu a été présenté. MM. Boissier, Babelon, Heuzey et Joret présentent diverses observations.

L'Académie procède au remplacement de M. Gaston Paris, décédé, dans quatre commissions. Sont élus :

Commission de l'Histoire littéraire de la France: M. Noël Valois.
Commission des travaux littéraires: M. Senart.

Commission des Ecoles françaises d'Athènes et de Rome: M. Emile Chatelain.
Prix de La Grange : M. Léopold Delisle.

M. Louis Havet etudie divers passages du discours de Cicéron pro lege Maniha, de l'Aulularia de Plaute (v. 437).

M. Emile Picot présente la Bibliographie des travaux de Léopold Delisle, par Paul Lacombe (Paris, 1903, in-8°; 1889 articles) publié sur l'initiative des mem bres du Congrès international des bibliothécaires tenu à Paris en 1900.-M. Perrot, président, félicite M. Delisle au nom de l'Académie.

Léon DOREZ.

Propriétaire-Gérant : ERNEST LEROUX.

Le Puy. Imprimerie Régis MARCHESSOU, boulevard Carnot, 23.

Gauckler (P.), correspondant de l'Institut. Musée de Cherchel. In-4, 31 planches en un carton.

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Musée Alaoui. In-8, illustré de 43 planches.

12 fr.

10 fr. >>

Monuments historiques de la Tunisie. I. Les temples païens. In-4, fig. et 33 planches en un carton...

25 fr. >>

Enquête sur les installations hydrauliques romaines en Tunisie. Fasc. I-IV, In-8..... 11 fr.

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Grammont (H. de). Correspondance des Consuls d'Alger (1690-1742). In-8 .
- Histoire d'Alger sous la domination turque (1515-1830). In-8.
Gsell (S.). Recherches archéologiques en Algérie. In-8, nombreux
8 planches...

Musée de Philippeville. In-4, 11 planches en un carton.

La Blanchère-(R.- de): Muséo d'Oran. In-4, 7 planches en un carton...
Tombes en mosaïque de Thabraca. Douze stèles votives du Musée
In-8, 7 planches..

Le Chatelier (A.). L'Islam au XIX siècle. In-18..

-Les confréries musulmanes du Hedjaz. In-18.

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Législation de la Tunisie. Recueil des lois, décrets et règlements en vigueur dans la Régence de Tunis au 1er janvier 1888. Publié par M. Bompard. n-8 . . 20 fr. »

- Supplément par M. Caudel. Recueil des lois, décrets et règlements promulgués du 1er janvier 1888 au 1er janvier 1896. In-8. ..

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Léon L'Africain. Description de l'Afrique. Nouv. édition publiée et annotée par
Ch. Schefer, membre de l'Institut. 3 vol. grand in-8.
Liorel (J.). Kabylie. du Jurjura. Races berbères. In-18.
Lombay (J. de). Alger, Oran, Tlemcen. In-18, dessin et carte...
Masqueray (E.), directeur de l'Ecole des Lettres d'Alger. Formation des cités chez
les populations sédentaires de l'Algérie (Kabyles du Ďjurdjura, Chaouïa de l'Aouras.
Beni Mezâb). In-8.
10 fr.

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Mercier (Ernest). Histoire de l'Afrique septentrionale, depuis les temps les plus reculés jusqu'à la conquête française. 3 vol. in-8, cartes 25 fr. >>

La France dans le Sahara et au Soudan. In-18. 1 fr. 25 Mohammed Seghir Ben Youssef. Mechra el-Melki, chronique tunisienne (17051771). Traduit par Victor Serres et Mohammed Lasram. In-8` . . . . . . . .. 10 fr. Monceaux (P.). Histoire littéraire de l'Afrique chrétienne. 2 vol. in-18... Pallu de Lessert (A. Clément). Fastes des provinces romaines d'Afrique domination romaine.

15 fr. >> sous la

Tome I. République et Haut Empire. 2 parties in-4. Chaque.

- Tome II. Proconsuls, vicaires, comtes d'Afrique, Byzacène, Tripolitaine, Maurétanie Césarienne. 2 parties in-4. Chaque..

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Philibert (Le Général). La conquête pacifique de l'intérieur africain. Nègres, musulmans et chrétiens. In-8, 3 cartes et nombr. illustrations.

12 fr. »

Radiot (P.). Les vieux Arabes. L'art et l'âme. In-18...

3 fr. 50

Ruff (Paul). La domination espagnole à Oran sous le gouvernement du Comte d'Alcaudete (1534-1558). In-8.

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Sainte-Marie (E. de). Mission à Carthage. In-8, 400 fig.

5 fr.

Saladin (Henri). La mosquée de Sidi Okba à Kairouan. In-4, fig. et 29 planches en un carton.

25 fr. >>>

Schnell (Paul). L'Atlas marocain, d'après les documents originaux. Traduit par Aug. Bernard, In-8, grande carte de l'Atlas... 10 fr.

1 fr. 50

Tauxier (H.). Les migrations des nations berbères avant l'islamisme. In-8. Tissot (Ch.) et S. Reinach, membres de l'Institut. Géographie comparée de la province romaine d'Afrique. 2 vol. in-4 et atlas. .

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