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Il s'est enrichi de quelques inedita et de pièces accessoires qui illustrent mieux les relations des deux correspondants et surtout les rapports de Goethe avec le mouvement patriotique et intellectuel en Bohême. L'introduction nous raconte l'histoire de ces relations et expose en détail la part prise par Sternberg au risorgimento tchèque: fondation de la société du Vaterländisches Museum à Prague, dont Goethe fut membre, et création d'une revue, organe du Museum, à laquelle le poète s'est aussi vivement intéressé. Dans l'apparat critique (p. 261382), établi avec un soin dont l'éloge n'est plus à faire, M. S. communique d'intéressants passages empruntés aux brouillons des lettres de Sternberg ou de Goethe, des variantes utiles, des renseignements puisés dans le Tagebuch de Goethe et l'autobiographie de Sternberg, ou dans leur correspondance, ou à d'autres sources encore, parfois inédites, du moins dans ce qui touche à Sternberg. Tous les noms propres et toutes les allusions à des événements contemporains sont pagnés de courtes mais substantielles notes. Un triple index des personnes, des lieux et des matières facilite le maniement de ce volume dont il convient aussi de louer l'élégance et les trois beaux portraits de Sternberg joints au texte.

L. ROUSTAN.

- M. K. FRANCK, professeur agrégé à l'École technique supérieure de Stuttgart, avait vu couronner en 1898 un mémoire académique sur la sculpture allemande du x siècle, envisagée au point de vue spécial de ses rapports avec l'art français. Après un séjour d'études dans notre pays, l'auteur a repris et développé son travail et il en publie maintenant un chapitre isolé, dont la suite paraitra prochainement (Der Meister der Ecclesia und Synagoge am Strassburger Münster, Düsseldorf, Schwann, 1903, X, 115 p. in-8°, avec planches). Il y examine quelques statues considérées comme étant parmi les plus remarquables d'entre toutes celles qui ornent les différents portiques de la cathédrale de Strasbourg; elles représentent l'Église triomphante et la Synagogue vaincue, l'opposition de l'ancienne et de la nouvelle Alliance, la Foi et l'Erreur. M. Franck établit que ces deux chefs-d'œuvre de l'art du xII° siècle, ornant le portail méridional, sont dûs au ciseau d'un maître, s'inspirant des traditions françaises, mais les dépassant en plaçant en plein air, pour ainsi dire, avec une plus grande liberté d'allures, les personnages symboliques ou les saints enfoncés jusqu'ici dans leurs niches de pierre. Déjà M. Dehio avait démontré que les sculptures de la cathédrale de Bamberg étaient d'inspiration française; notre auteur rend la chose extrêmement probable pour celles de Strasbourg, en les rattachant plus spécialement aux modèles de la Cathédrale de Chartres; les comparaisons faites par lui et qu'on

I P. 281, les dates pour Fraunhofer sont: 1787-1826, et non : 1813-1879; même page, lire Museum et non Musée ; p. 326 et ailleurs, Haûy et non Hauy; p. 380, J. Baader est mort en 1835 et non en 1865; Sternberg doit faire allusion à son ouvrage Ueber die Vorzüge einer verbesserten Bauart von Eisenbahnen, 1828.

peut refaire soi-même, grâce aux photographies ajoutées à son étude avec les statues de saint Potentien et de sainte Modeste, dans cette dernière église, sont vraiment frappantes; sans se risquer d'ailleurs à nommer un nom propre, ni à fixer une date précise, M. Franck revendique encore pour le même artiste génial plusieurs autres travaux d'art strasbourgeois, soit à la Cathédrale même, soit à Saint-Thomas, soit à l'Œuvre-Notre-Dame, et le déclare ou Français lui-même ou tout au moins élève du maître français qui créa les sculptures chartraines. - N.

M. K. HANQUET, docteur en droit et en sciences historiques, nous envoie une étude (L'auteur de la Chronique de Saint-Hubert, du second livre des Miracula Sancti Huberti et du Vita Theoderici, Bruxelles, Kiessling, 1901, 42 p. in-8°), tirage à part du Bulletin de la Commission royale d'histoire de Belgique, dans laquelle il répond à M. A. Cauchie au sujet de l'attribution faite par lui de la Chronique de l'abbaye de Saint-Hubert, au diocèse de Liège, à un moine de ce couvent, Lambert le Jeune, ayant vécu à la fin du xr et au début du xır° siècle. Le professeur de Louvain n'ayant point admis la paternité de Lambert pour les écrits énumérés plus haut, M. Hanquet reprend en détail ses propres arguments et les objections du savant critique, pour aboutir naturellement, en fin de compte, à ses conclusions premières. Ceux qui s'intéressent aux polémiques érudites et courtoises et surtout à l'histoire du pays liégeois au moyen âge, suivront avec intérêt cette discussion où l'auteur a su rendre tout au moins fort vraisemblables ses affirmations, encore qu'il ne les ait pas toutes également démontrées avec la même certitude.

N.

M. Gustave BECKMANN, l'un des collaborateurs à la grande œuvre des Deutsche Reichstagsakten, prétend démontrer dans son étude sur la politique orientale de l'empereur Sigismond (Der Kampf Kaiser Sigismunds gegen die werdende Weltmacht der Osmanen, Gotha, Perthes, 1902, 118 p. in-8°) que l'idée de la lutte commune de la chrétienté contre les Ottomans a été, depuis 1392 jusqu'en 1437, le centre de toutes ses préoccupations et de toute son activité politique. Il est incontestable que le jeune roi de Hongrie, comme plus tard le chef du SaintEmpire, a dû se dire que le jour où les Turcs auraient achevé de démolir l'empire byzantin, ils se rueraient vers l'ouest, et qu'esprit pratique, diplomate aux combinaisons multiples, il a dû prendre ses précautions contre un aussi évident danger; mais il y a loin de ces efforts intermittents à cette attitude de grand homme d'État (aecht staatsmaennische Groesse) que lui prête un peu bénévolement l'auteur. Pour nous persuader que Sigismond « embrassait toute l'Europe et une partie de l'Asie » dans ses projets grandioses, M. B. est obligé de prétendre que l'empereur n'a jamais songé à une réforme sérieuse de l'Église; que tous les savants qui se sont occupés de son héros ont été victimes de leur imagination, et que tout ce qu'il en a dit lui-même, lors de la convocation du Concile de Constance, n'était que des « fleurs de rhétorique ». Cette façon de voir qui nous est exposée «< comme le fruit, non pas de longs jours d'un travail fatigant mais d'une courte heure de découverte heureuse, d'un de ces moments de félicité où l'on ressent avec volupté les joies de la création intellectuelle », n'aura pas, je le crains, un énorme succès; dans ce qu'elle a de vrai, elle n'est pas précisément neuve, tous les prédécesseurs de M. B. ayant tenu compte des efforts diplomatiques et militaires de Sigismond contre les Turcs, et dans ce qu'elle a de neuf, c'est-à dire d'exclusif, par rapport aux autres visées politiques et religieuses de l'empereur, je doute fort qu'elle recueille des adhésions nombreuses et réfléchies. — E.

Dans une plaquette élégante, imprimée à Strasbourg à l'occasion du mariage d'un jeune couple montbéliardais, M. J. E. GEROCK raconte deux épisodes de la

grande guerre de Bourgogne » (Les Strasbourgeois en Franche-Comté, Héricourt-Blamont, 1474-1475, Strasbourg, Heitz et Mündel, 1902, 36 p. in-8°) : ' le siège de la petite ville d'Héricourt, occupée par les Bourguignons sous Étienne de Hagenbach et prise en novembre 1474 par les Suisses et leurs alliés d'Alsace, après que les assiégeants eurent repoussé la tentative de débloquement faite par les comtes de Romont et de Blamont; 2o la prise de la petite place de Blamont, en août 1475, après une défense énergique qui se termina par l'incendie de la localité et le massacre des garnisaires après la capitulation. M. Gerock en a puisé les détails dans la riche littérature accumulée sur ce sujet, depuis les récits contemporains du bon chapelain Knebel et de Diebolt Schilling; il a su rectifier et enrichir, sur quelques points, les plus récents historiens de ces campagnes, MM. Witte et Toutey, et son étude per nozze sera certainement la bienvenue auprès des amateurs de l'histoire locale. - R.

- Chargé par M. le comte de Baglion de recherches relatives au passé de sa famille, originaire de l'Ombrie, M. l'abbé Eugène SoL, archiviste-paléographe, a profité de l'occasion pour faire œuvre utile en faisant connaître les dépôts officiels ou particuliers qui s'ouvraient à lui, au cours de ses études. De là le titre d'Archives ombriennes mis en tête d'un premier fascicule, qui s'occupe tout naturellement des archives de la famille même qu'il devait étudier tout d'abord, et qui se trouvent à la villa des Oddi-Baglioni, à Sant' Erminio, à deux kilomètres de Pérouse (Les Archives des Oddi-Baglioni, Paris, A. Picard, 1903, 40 p. in-8°; prix 1 fr.). M. S. n'y a point découvert sans doute de pièces importantes pour l'histoire générale, mais il y relève pourtant une série de documents intéressant l'histoire locale et nobiliaire de l'Ombrie, des brefs pontificaux en assez grand nombre et tout un ensemble d'actes divers et de correspondances qui vont du xv• au XIXe siècle. Quelques-uns de ces papiers de famille doivent être apocryphes; ainsi je suis absolument sceptique à l'égard de ce Baglioni qu'on prétend avoir été, soit au xve siècle, soit plus tard, le texte n'est pas clair

landgrave de Hesse. D'autres sont intéressants, même pour les étrangers, comme les lettres de Henri le Balafré que M. S. donne en appendice et qui, datées de 1587, sont adressées à Marc' Antonio Oddi, condottiere pérousin que Guise appelait à combattre sous ses drapeaux. On ne peut qu'encourager M. Sol à continuer ses recherches et à nous en communiquer de temps à autre les résultats. - P. 10, il faut lire sans doute 1850 au lieu de 1550. - P. 13. On lit à côté du nom d'Alexandre VI la date de 1301. Si le nom du pape est exact, il faut lire 1501; si c'est la date qui est correcte, il faudrait substituer le nom de Boniface VIII. P. 28. En 1804 il n'y avait pas de roi de Toscane, mais un roi d'Étrurie. R.

M. Michel HUISMAN a voulu s'orienter sur les origines et sur le caractère propre de la grande Compagnie d'Ostende ou Compagnie des Indes, créée aux Pays-Bas autrichiens par l'empereur Charles VI, et sur laquelle les avis restaient passablement divergents jusqu'à ce jour, les uns l'ayant prise fort au sérieux, d'autres, comme Carlyle, déclarant que ce n'était qu'une « compagnie de papier ». L'auteur a cherché une réponse dans les archives de Bruxelles, La Haye, Vienne, Paris et Berlin, surtout aussi dans les dossiers de la Compagnie elle-même, conservés aux Archives municipales d'Anvers, et de ses fouilles patientes a surgi un gros volume, La Belgique commerciale sous l'empereur Charles VI, avec le soustitre La Compagnie d'Ostende (Bruxelles, Lamertin, 1902, XII, 556 p. in-8°). On ne pourra plus se plaindre désormais de ne rien savoir de précis sur cette entreprise commerciale et coloniale, imaginée par le gouvernement impérial pour pro

curer quelque bien-être et quelques ressources nouvelles aux Pays-Bas autrichiens, appauvris par les guerres de Louis XIV, mais que la jalousie des Provinces-Unies et celle de l'Angleterre ne laissèrent jamais se développer librement, après que l'empereur lui eut conféré le monopole du commerce et de la navigation aux Indes, en novembre 1722. Ce n'est certes pas un spectacle très édifiant, mais néanmoins curieux, d'étudier les moyens employés par ses rivaux en Orient afin d'étouffer la concurrence incommode de la Compagnie, « ce nid de vermine >> comme l'appelait un pamphlet hostile. Comme Charles VI avait encore d'autres projets plus à cœur on se souvient de la Pragmatique Sanction — que de trafiquer lucrativement en Hindoustan, et qu'il ne pouvait compter avec certitude sur l'appui de personne contre les Hollandais et les Anglais, il se résigna finalement à suspendre sa Compagnie des Indes en 1727, puis il s'engagea à cesser tout trafic dans ces régions par le traité de Vienne (1731) et en février 1732 la Compagnie Impériale et Royale disparaissait définitivement, encore qu'elle eût fait d'assez bonnes affaires, au point de vue commercial. Tout cela est raconté d'une façon très abondante, mais très lucide et très impartiale; les économistes liront le volume avec intérêt et les hommes politiques sérieux tireront de cette lecture une preuve de plus combien les nations qui désirent se livrer au commerce colonial ont besoin d'une marine de guerre suffisante pour le protéger contre les prétentions et les insultes de rivaux ambitieux et jamais contents. - R.

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- La librairie Mohr à Tubingue, vient de publier dans la série de ses Gemeinnützliche Vortraege relatifs à l'histoire religieuse, une conférence sur les négociations entre le gouvernement du premier Consul et les Églises luthérienne et réformée de France, relativement à l'établissement de leurs articles organiques, en 1802 (Bonaparte und die protestantischen Kirchen Frankreich's, 1903, 42 p. in-8°, prix: 1 fr. 15 c.), publication posthume du regretté professeur d'histoire ecclésiastique à la faculté de théologie de Strasbourg, M. Ernest Lucius, enlevé, il y a quelques mois, à la science et aux siens, à la force de l'âge. C'est un résumé préalable, exact et concis, sur la matière à laquelle le défunt voulait consacrer un travail de longue haleine, pour lequel il réunissait les matériaux depuis plusieurs années, dans les archives ecclésiastiques et civiles. Le jugement impartial qu'il porte sur toutes ces questions délicates, les renseignements nouveaux qu'on devine, même dans cette esquisse sommaire, font doublement regretter que M. Lucius n'ait pas eu le temps de mener son entreprise à terme; espérons qu'on pourra tirer encore quelque parti des papiers nombreux, laissés par lui, et reconstituer, dans une certaine mesure, l'ouvrage, fruit de ses consciencieuses recherches, dont nous n'avons ici qu'une première ébauche. - R.

-M. Stanislas MILLET, professeur au collège de Lorient, publie avec une introduction et quelques notes supplémentaires, les souvenirs de son grand-père, Pierre-Jean-Baptiste Millet, sur la campagne d'Orient qu'il fit avec Bonaparte (Le Chasseur Pierre Millet, Souvenirs de la campagne d'Égypte, 1798-1801. Paris, Émile Paul, 1903, 288 pages in-18. Prix: 3 fr. 50 c.). Né en 1776, dans une petite paroisse de Normandie, d'un sergent du régiment de Languedoc, qui avait eu dix-huit enfants, Pierre Millet était commis chez un marchand de meubles à Paris, quand il fut appelé sous les drapeaux; après avoir servi d'abord dans une brigade de l'armée de Sambre-et-Meuse, il passa ensuite à l'armée d'Égypte, mais ni sa bravoure, ni son savoir relatif, mal servis par un caractère trop entier, ne purent l'élever au moindre grade supérieur et quand il fut réformé pour cause d'ophthalmie contractée sur le sol africain, il était encore simple chasseur. Devenu

alors maître d'école, il desservit comme tel différentes communes de l'Orne, de 1801 à 1849 et mourut en 1857. C'est plus tard seulement qu'on a trouvé dans un grenier le manuscrit, aujourd'hui incomplet, intitulé « Cahier contenant les batailles données par les Français en Orient, pays d'Égypte » édité par son petitfils. Le récit du troupier, très modeste (il ne parle presque pas de lui-même), est intéressant, non pour des révélations historiques qu'on ne saurait attendre de lui, mais par l'effort visible du narrateur naïf, de vouloir rapporter sincèrement ce qu'il a vu tout autour de lui, la brutalité du conquérant comme la résistance désespérée des possesseurs légitimes du sol (pour lesquels il éprouve d'ailleurs peu de compassion), les misères endurées par les soldats, les mœurs étranges de ces populations si différentes de celles qu'il connaît. Il rappelle, à bien des égards, les mémoires de cet autre «< Égyptien », le conscrit vosgien Vaxelaire, publiés récemment par M. Gauthier-Villars, et sans exagérer la valeur documentaire du récit de Millet, on peut dire qu'il fournira quelques détails utiles pour connaître la psychologie des troupes employées en cette expédition lointaine, dont les aventures pittoresques ne peuvent plus masquer pour nous les souffrances des uns, les cruautés des autres et l'inutilité finale. - R.

M. Max BRUCHET a résumé en quelques pages l'histoire assez curieuse du Plébiscite occulte du département du Mont-Blanc en 1815 (Paris, Imprimerie Nationale, 1903, 47 p, in-8o), relatif à la restauration de la maison de Savoie, organisé par la noblesse et le clergé savoyards, malgré les efforts de quelques patriotes français. Grâce à l'appui moral des alliés, l'organisateur de ce vote plus ou moins occulte, le marquis d'Oncieux, obtint, si l'on peut en croire les chiffres officiels, un brillant succès. Le 28 août 1815 on mandait au plénipotentiaire sarde à Vienne, M. de Revel, que sur 31,000 chefs de famille, plus de 27,000 avaient fait connaître leur vœu et que 26,400 s'étaient prononcés pour le retour à la maison de Savoie. Seulement M. Bruchet nous fait voir combien certains de ces chiffres doivent inspirer de méfiance, et combien le suffrage fut peu universel, puisqu'à Chambéry, par exemple, sur 10,000 habitants, il n'y eut en tout que 1,002 votants, dont exactement le quart étaient des élèves du Grand-Séminaire ! - R.

M. André WALTZ, bibliothécaire de la ville de Colmar, vient de faire paraître (Colmar, Jung, 1902, 539 p. in-8°) sous les auspices de la Société industrielle de Mulhouse, une Bibliographie de la ville de Colmar, à peu près complète, embrassant dans un cadre systématique très détaillé les écrits (volumes, brochures, feuilles volantes, articles de revues et même de journaux) relatifs au chef-lieu de l'ancien département du Haut-Rhin; c'est un instrument de travail précieux pour tous ceux qui auraient à s'occuper du passé de l'ancienne ville impériale, à un point de vue quelconque. Nous devons également au zélé conservateur la mise au jour d'une espèce de Chronique de Colmar (Colmar, Jung, 1903, 189 .p. in-8°), rédigée vers la fin du XVIe siècle par le syndic Félix-Henri-Joseph Chauffour (1718-1806), et qui, d'un intérêt assez médiocre pour les siècles du moyen âge, en présente davantage pour les temps plus rapprochés du narrateur, haut fonctionnaire de la dite cité avant la Révolution. M. W. a joint au texte du vieux syndic plusieurs appendices, entre autres, les listes des dignitaires colmariens, du XVII siècle à 1789. — R.

- Il y a quelque hardiesse à prétendre reviser un jugement unanimement accepté et qui s'appuie sur l'autorité de juges tels que Helmholtz, Virchow et d'autres. M. Alfred PELTZER (Die ästhetische Bedeutung von Goethes Farbenlehre.

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