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encombrement soit le moins gênant possible. Il faut surtout s'arranger pour ne pas doubler le travail en recouvrant par les déblais la place d'une fouille future. Mais il est presque impossible de savoir d'avance s'il y aura des fouilles accessoires et où elles seront. Par suite, il est sage de laisser les déblais dans le voisinage immédiat et le long des fouilles déjà creusées : c'est évidemment le système le plus économique, et d'autre part, c'est celui qui présente le moins d'inconvénients; car il y a toutes les chances, s'il y a des fouilles accessoires, pour qu'elles se dégagent des anciennes perpendiculairement, par suite en coupant le tas de déblais dans son plus petit sens.

Il y a intérêt également à faire étendre les déblais sur le sol au fur et à mesure de l'extraction, et sur quelques mètres de largeur. Ainsi répartis, ils ne masquent pas les fonds de fouille à la photographie, ne présentent qu'une faible hauteur au recoupement des fouilles secondaires, et leur masse ne modifie pas l'aspect du terrain, qu'il est avantageux de conserver dans sa première impression.

Une tentation à laquelle il ne faut pas céder est celle de se servir des creux qui représentent d'anciens bassins pour se débarrasser des débris. C'est là encore une de ces pratiques qui font disparaître tout ou partie du document historique d'ailleurs le curage de ces anciens bassins est souvent une opération fort profitable au chercheur.

La fouille amène-t-elle la découverte d'un objet intéressant, il est sage de ne pas céder au désir de l'extraire immédiatement pour l'étudier : il est prudent, dès qu'il est dégagé des terres qui le recouvraient, d'en noter d'abord soigneusement la position, d'en prendre un croquis ou une photographie. Les précautions doivent être plus minutieuses encore s'il est en fragments, et chaque morceau doit être numéroté dans sa place primitive. Faute de cette précaution qui, à tout le moins, a l'avantage de diminuer le travail ultérieur, certaines pièces deviennent impossibles à reconstituer qui l'eussent été autrefois par ce simple soin.

En d'autres cas, les fouilles mettent à jour des fragments qu'il est impossible de reconnaître comme certainement anciens. C'est alors leur nombre et surtout leur position dans le sol qui permettent d'en juger. Si l'époque en reste douteuse, il faut bien se garder de les laisser de côté et, par crainte d'avouer son ignorance, de négliger d'en consigner les formes dans ses notes; il est bien rare en effet, s'ils sont anciens, que d'autres fouilles ne fassent pas la lumière sur ce point.

Enfin le travail fini et au cours même du travail, un dernier soin s'impose. Il faut réunir les objets trouvés en les classant suivant leur point d'origine, telle tour ou telle partie du monument. A plus forte raison si l'on a pu étudier un de ces remblais anciens dont nous avons parlé, convient-il d'en mettre les richesses en lieu sûr et à part. Extraits des fouilles sans cette précaution, ces débris perdent la plus grande partie de leur intérêt; il est même sage, dans la crainte de bouleversements ultérieurs, de les marquer d'un signe indélébile qui leur constitue comme un extrait de naissance.

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Chaque fois qu'on le peut, il est préférable de laisser les objets trouvés dans le monument même et, si cela est possible, dans le voisinage du point d'extraction. Il va de soi qu'on ne peut abandonner ni les objets précieux, qui seraient indubitablement dérobés, ni les objets fragiles et légers, que les intempéries détérioreraient ou qui tenteraient la manie collectionneuse des visiteurs. Mais nous ne saurions trop nous élever contre la triste méthode qu'on a suivie dans les premières études archéologiques en Indo-Chine, et qui n'est pas encore abandonnée complètement - de prendre des fragments sur un point pour les transporter ailleurs. Sans compter ceux que l'on abandonne à mi chemin et ils ne sont pas rares, on voit les autres s'accumuler, sans certificat d'origine, dans quelques jardins ou quelques résidences. Rien ne justifie ce système : le respect superstitieux des Annamites pour les fragments chams est trop grand pour qu'ils osent le moins du monde les détériorer; hors de leur place, ce ne sont plus pour eux que des pierres sans caractère religieux. Nous avons vu au jardin de Tourane les enfants jeter des cailloux sur les figurines d'un beau bas-relief; et à Tra-kiêu, d'où ce fragment provient, les enfants ne seraient passés devant qu'en tremblant. Pour les fragments khmers seuls la précaution serait mieux justifiée, car les bonzes aiment assez à se fournir de soubassements de pierre pour leurs pagodes par le procédé économique du pillage d'un monument ruiné. Quelques bonnes amendes aux bonzes où au village où se trouve la bonzerie en auraient vite raison.

Or. s'il n'y a pas de danger à les laisser, pourquoi les transporter? N'est-ce pas un spectacle pénible que celui de ces sculptures réunies n'importe où et n'importe comment, et dont personne aujourd'hui ne connaît plus l'origine ? Et n'est-il pas regrettable de voir juchée la tête en bas, dans la résidence de Nhatrang, la vénérable pierre de Vo-can, une des plus anciennes inscriptions sanskrites qui existent, exilée loin du point où des siècles l'avaient respectée pieusement ? Quel effet ferait le Roi Lépreux d'Angkor Thom privé de son merveilleux cadre de nature et de ruines, et traîné dans les galeries du Louvre, voire dans un square de Saigon ou même de Phnom Penh ? Et quel intérêt présenterait une grossière et laide image buddhique hors du monument et de la province où elle était une preuve indéniable de l'existence du buddhisme en ce lieu ? Nous possédons aujourd'hui, avec la photographie, les estampages et les moulages, assez de moyens de reproduction des œuvres anciennes pour que nous n'allions pas, en les retirant du monument où elles se trouvent, leur enlever la plus grande partie de leur intérêt. Il est regrettable d'être forcé d'insister ainsi sur des points de si simple bon sens ; ce n'est pas à nous qu'en revient la faute. L'incurie et la niaiserie sont encore plus grandes qu'on ne le pense; et ce n'est pas seulement à des statues isolées ou à des motifs de sculpture indépendants qu'on s'est attaqué disons, hélas ! qu'on s'attaque encore. N'avons-nous pas vu, il y a quelques mois à peine, arracher des débris d'une ruine khmère, les linteaux et les colonnes des portes. sans qu'aucun soin ait été pris de marquer le point du monument dont ces sculptures avaient été retirées ? Ce monument n'est plus aujourd'hui qu'un squelette informe, et la brèche des portes, privées de leurs éléments caractéristiques qui étaient tombés en avant, ou peut-être même étaient encore en place quand on les a enlevés, ne se distingue pas des brèches que la ruine ou la maladresse des coulis ont faites aux murs anciens.

Ce n'est en réalité que dans un très petit nombre de cas que le transport, qui n'est jamais nécessaire, peut à la rigueur se justifier. C'est, par exemple, quand des fragments ont été depuis longtemps isolés du monument et que l'histoire de leur origine est perdue. C'est aussi quand un monument a laissé de si faibles traces que les fouilles n'y indiquent plus rien. C'est enfin quand les débris font partie d'un ensemble tellement écarté qu'on ne peut l'atteindre pour l'étudier; et encore un jour viendra où aucun point de l'Indo-Chine ne sera inaccessible alors même qu'il n'en serait jamais ainsi, de bonnes photographies ou un bon moulage valent mieux que le transport.

Le sort des débris assuré par leur installation dans une partie abritée du monument, une dernière précaution est à prendre: il est bon de 'consigner sur le plan de fouilles les points où l'on a amassé les déblais, pour que les tertres artificiels, que la végétation recouvre vite, ne donnent pas lieu, auprès de nouveaux chercheurs, à de cruelles et coûteuses méprises.

Enfin, et pour conclure, il faut bien se persuader qu'une fouille n'est pas une amusette. comme elle est généralement considérée, mais un travail scientifique très délicat: car mal exécutée, elle peut faire disparaître le document historique lui-même. Ce sont donc de véritables devoirs de conscience qu'une telle besogne impose. Nous ne voulons pas rappeler non plus l'obligation morale, pour ceux qui font des fouilles sur les fonds d'un État ou d'une société, de leur réserver la totalité des trouvailles faites et de n'en pas garder une part, quelque minime qu'elle soit, pour eux. C'est là un devoir de simple honnêteté et sur lequel il serait presque grossier d'insister. Mais il faut également rappeler qu'alors même qu'on fait des fouilles à ses frais, les objets trouvés ne sont pas davantage la propriété de ceux qui les ont mis au jour : ils font partie du patrimoine du peuple qui les a créés ou des descendants qu'il a laissés, quelque dégénérés qu'ils soient. C'est une jurisprudence généralement reconnue aujourd'hui, et l'on a trop de faciles indignations contre les pillages de Lord Elgin pour que chacun s'arroge le droit d'exploiter les monuments khmers ou chams à son profit particulier. Ce qu'on appelle souvenir de voyage n'est jamais, à bien considérer, qu'un vol mal déguisé.

H. PARMENTIER.

NOTE SUR L'EXISTENCE DE RUINES A GIAM BIÊU (THUA THIỀN)

Je dois le signalement de ces ruines à l'obligeance de Mgr Caspar, évêque de Carnate, vicaire apostolique de la Cochinchine septentrionale.

Elles sont situées au S.-O. de la citadelle de Hué, sur le territoire du village de Giam Biêu, canton de Lang Hô. Pour y accéder, il faut remonter la rive gauche du fleuve Hương Giang, passer le bac en amont du village d'An Ninh et du Quoc Tù Giam, et suivre pendant 7 ou 800 mètres la rive droite de la rivière qui conflue au bac. Les ruines sont situées dans un isthme très étroit, qui constitue une véritable curiosité géologique. La rivière d'An Ninh reçoit un peu plus loin un ruisseau torrentiel, comme tous ceux de la région, et qui descend des montagnes voisines. Or, bien que le confluent soit à 2 ou 400 mètres au delà, les deux cours d'eau ne sont séparés que par une étroite muraille d'argile alluvionnaire, qui en un point n'a pas plus d'une douzaine de mètres de largeur.

Cette digue étroite subsiste, parait-il, depuis fort longtemps, malgré l'érosion qui semble l'entamer sur ses deux faces. Les riverains expliquent cette extraordinaire résistance par l'influence miraculeuse de la divinité chame dont le tronc mutilé subsiste au milieu des ruines.

Celles-ci consistent en fondations de murs en briques, dont la trace très nette se voit à la surface du sol. Sur les bords de la rivière d'An Ninh, un pan de muraille en briques s'écroule dans le lit du cours d'eau. Le sol naturel semble avoir été fortement surélevé.

Dans un bouquet d'arbres, une statue d'homme est debout, fichée en terre, haute d'un mètre environ; la tête, les bras et les jambes à la hauteur des chevilles sont brisés. Le personnage est obèse et revêtu d'un pagne identique à ceux des statues trouvées à Tra Keu et déposées au jardin de Tourane. A côté de la statue subsiste la base: les deux pieds, d'une facture assez soigrée, sont posés sur un socle carré portant aux coins antérieurs deux tenons en pierre de forme cylindrique, qui vraisemblablement sont les bases de deux colonnettes figurant peutêtre deux bâtons et soutenant les mains du personnage.

A côté une base de linga, ou peut-être un chapiteau; le bandeau porte un ornement sculpté, assez bien conservé.

Ces débris sont aujourd'hui l'objet d'un culte de la part des Annamites.

D'après des renseignements dignes de foi, il y avait là autrefois deux statues, qui un beau jour tombèrent dans la rivière, par un écroulement de la berge. On en retira bien une, celle que j'ai pu voir; mais l'autre, qui serait intacte, est encore dans le lit, ensevelie sous les alluvions.

Je n'ai malheureusement pas eu le loisir de revenir photographier les débris signalés ci-dessus, ni de vérifier la présence de la seconde statue.

P. ODEND'HAL.

CHRONIQUE

FRANCE

Une nouvelle revue s'est fondée à Paris sous le titre de La Revue d'Asie, bi-mensuelle illustrée; directeur: Maurice Gandolphe ; admininistration: 16, rue de Grammont, à Paris. Le prix de l'abonnement pour un an est de 15 piastres en Extrême-Orient. Nombre de personnes ayant séjourné en Extrême-Orient ont contribué aux premiers numéros : citons MM. Pichon, Maurice Courant, J. Matignon, Villetard de Laguérie, Gaston Donnet, le marquis de Barthélemy, etc. Faut-il rappeler que le directeur, M. Gandolphe, est venu en Chine lors des troubles de 1900? Nous souhaitons à sa revue longue et prospère existence, sans la chicaner sur un détail où, dans les embarras du début, sa bonne foi a été un peu surprise: l'Histoire de l'homme de l'Est et de l'homme du Sud, parue dans le premier numéro sous la signature de M. Armand La Varroy, est un simple démarquage d'un travail publié il y a quelque temps sous le même titre par M. Chéon.

INDO-CHINE

Ecole Française d'Extrême-Orient. M. L. Finot, Directeur de l'Ecole Française, est rentré à Saigon le 21 janvier. Durant sa mission en France, il a surveillé la publication des nouvelles Recherches sur les Chams, de M. Cabaton (vol. 11 des publications de l'Ecole), et de l'Atlas archéologique de l'Indo-Chine, du commandant Lunet de Lajonquière. La Phonétique annamite (dialecte du Haut-Annam) de notre collaborateur, le P. Cadière, a été entièrement imprimée. M. Victor Henry, professeur à l'Université de Paris, a bien voulu accepter d'écrire spécialement pour l'Ecole des Eléments de sanscrit classique qui paraitront incessamment. Enfin des arrangements ont été pris pour la publication de l'Inventaire archéologique du Cambodge, du commandant de Lajonquière.

D'autre part nous sommes heureux d'annoncer la reprise probable du Corpus des Inscriptions de Campă et du Cambodge, interrompu depuis 1893. MM. Auguste Barth et Emile Senart ont bien voulu promettre à cette œuvre, dont ils ont été, il y a près de vingt ans, avec le regretté Bergaigne, les premiers ouvriers, une collaboration effective, qui en garantit le succès.

Dans sa séance du 31 mai 1901, l'Académie des Inscriptions a décerné le prix Bordin à M. A. Foucher, directeur p. i. de l'Ecole Française d'Extrême-Orient, pour son Etude sur l'art gréco-buddhique.

Avec le Directeur de l'Ecole sont arrivés MM. P. Pelliot, professeur de chinois. et Cl. E. Maitre, ancien élève de l'Ecole Normale supérieure, agrégé de l'Université, nommé pensionnaire par arrêté du 29 décembre 1901. Le cours de M. Pelliot, retardé par le transfèrement de l'Ecole à Hanoi, s'ouvrira dans quelques mois.

MM. de Barrigue de Fontainieu et Ed. Huber ont été nommés pensionnaires de l'Ecole française par arrêtés des 7 et 29 décembre 1901.

- Le terme de séjour de M. H. Parmentier, comme pensionnaire de l'Ecole, a été prorogé d'une année à compter du 7 octobre 1901.

M. Ed. Huber a recueilli, au cours de sa visite à Hong-kong, Canton et Fou-tcheou, outre de précieuses promesses de collaboration, d'intéressants renseignements sur le buddhisme et surtout l'islamisme chinois. Ces derniers feront la matière d'une note qui sera insérée dans le Bulletin.

M. le capitaine Bonifacy a rapporté de sa mission au Tonkin une collection d'objets ethnographiques et cinq notices détaillées, composées sur le modèle de l'« Instruction pour les collaborateurs », et consacrées aux peuplades Man de la région de Tuyên-quang.

Bibliothèque.-M. le Gouverneur général a fait don à la Bibliothèque de l'Ecole d'un ouvrage manuscrit, relatif à la célèbre société secrète des Triades, et qui est intéressant, jau point de vue philologique, par les spécimens qu'il donne de l'argot chinois.

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Le gouvernement de l'Inde britannique a fait don à la Bibliothèque du dernier volume paru de l'Archæological Survey: A report on a tour of exploration of the antiquities in the Terai, Nepal, the region of Kapilavastu, par le babou PURNA CHANDRA MUKHERJI, avec préface de M. V. A. Smith.

Le gouvernement des Indes Néerlandaises nous a fait présent d'un quatrième album de photographies des Antiquités hindoues de Java, consacré aux sculptures du Boro-Boudour.

Monseigneur Escoffier, vicaire apostolique du Yunnan, a fait don à l'Ecole d'un exemplaire du Si lin kong pao hiuan to kiai fou t'ou (15), album de 40 planches et notices illustrant la vie de Ts'en Yu-ying (1835-1889), mort vice-roi du Yunnan. Ts'en Yu-ying (appell., Siang-k'in ) était né dans le district de Si-lin de la préfecture de Se-tch'engdu Kouang-si; sa famille était de race Nong. Il est resté célèbre par le massacre des Miao-tseu en 1864 et des Musulmans du Yunnan en 1872. Il fut toujours soupçonné d'avoir à tout le moins laissé assassiner Margary. En 1884-1885, il avait un commandement au Tonkin et l'album nous représente ses succès au siège de Tuyên-quang. Il laissa cinq fils, Ts'en Tch'ouen-jong, Ts'en Tch'ouen-siuen ki, Ts'en Tch'ouen-hiu !!. Ts'en Tch'ouen-yin, Ts'en Tch'ouen-ming. Le second fils de ce conservateur décidé, Ts'en Tch'ouen-siuen, fut compromis en 1898 dans le mouvement réformiste. Devenu trésorier-provincial à Canton, il fut cassé lors de la réaction; les événements de 1900 et sa conduite intelligente à Si-ngan-fou, puis au Chan-si, l'ont à nouveau mis en vedette.

Nous avons reçu de M. Martel, chancelier du consulat de France à Canton et professeur de français à l'Université de Canton, une curieuse réimpression de l'édition de Gravius (1664) de l'Évangile de St Mathieu traduit en langue de Formose, et quatre exemplaires des «Leerstukken en Preeken in de Favorlangsche Taal (Eiland Formosa) », imprimé d'après un manuscrit du XVIIe siècle, appartenant à la Société des Arts et Sciences de Batavia.

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M. A Baudenne, commis des services civils au Laos, nous a fait don d'un ancien manuscrit laotien en parfait état.

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Nous avons également reçu un exemplaire en deux pen du Nan Tchao ye che compilé sous les Ming par le célèbre Yang Chen, et consacré à l'ancienne histoire du Yunnan. L'ouvrage a été revisé sous la dynastie actuelle, et notre édition est de 1775. Nous n'insisterons pas sur cet ouvrage intéressant, car M. Sainson, consul de France à Mongtse, en a achevé une traduction qui doit paraître prochainement.

M. l'Inspecteur général des Douanes chinoises à Changhai nous a fait don de : China Imperial maritime Customs. I. Statistical Series no 2. Customs Gazette. no CXXXI, July-September 1901. Changhai, 1901, in-40, 282 pp.

Lord Cranford a bien voulu faire don à l'Ecole d'un exemplaire du catalogue de sa riche bibliothèque chinoise. Ce Catalogue of Chinese Books de la Bibliotheca Lindesiana, luxueusement imprimé, n'a été tiré qu'à 100 exemplaires et ne se trouve pas dans le commerce.

Le Ministère des Affaires étrangères a disposé en faveur de l'Ecole d'une série des Livres Jaunes concernant l'Extrême-Orient qui se trouvaient encore en nombre au quai d'Orsay.

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