網頁圖片
PDF
ePub 版

-M. Carpeaux a rapporté d'Angkor une collection d'estampages et de photographies des bas-reliefs du Bayon.

M. Georges Maspéro a fait dont au Musée de plusieurs statues en bronze du Buddha provenant d'une pagode abandonnée dans l'enceinte de Vieng-Chan (Laos).

-

M. le Résident de Kompong Thom a envoyé au Musée une petite stèle qui avait été rapportée à la Résidence et qui paraît répondre à la stèle décrite par M. Aymonier (Cambodge, 1, 371) comme se trouvant à Vat Kedey Char.

Congrès des Orientalistes à Hanoi. A l'occasion de l'Exposition de Hanoi, un Congrès intertional des orientalistes spécialement adonnés à l'étude de l'Extrême-Orient s'ouvrira à Hanoi le 1er décembre prochain.

Le Comité d'initiative du Congrès a publié l'appel suivant :

Congrès international des Orientalistes de Hanoi sous le patronage du Gouvernement Général de l'Indo-Chine.

Une Exposition internationale doit s'ouvrir à Hanoi en novembre prochain. La situation géographique de l'Indo-Chine, la variété des civilisations qui s'y sont établies, les croisements de races et de langues, de religions et d'arts qui s'y sont accomplis, la désignent comme un foyer naturel et commun pour toutes les recherches qui intéressent l'Asie orientale, de 'Inde à la Malaisie et au Japon. Ces considérations ont naguère encouragé la création de l'Ecole Française d'Extrême-Orient. Elles nous paraissent devoir faire souhaiter que le rendez-vous donné à Hanoi s'étende aux hommes d'étude que préoccupe l'exploration historique et linguistique, archéologique et religieuse de ces vastes régions.

C'est dans cette pensée que, sous le haut patronage du Gouvernement général, nous croyons devoir prendre l'initiative d'un Congrès international d'orientalistes qui se réunira au cours de l'Exposition.

Tout en faisant appel aux concours habituels qu'ont obtenus les Congrès organisés jusqu'ici, nous espérons tout particulièrement que les savants et les corps scientifiques disséminés dans l'Extrême-Orient, et privés en général du bénéfice des Congrès européens, mettront volontiers à profit cette occasion de rompre un isolement regrettable et de prendre enfin contact entre eux. La philologie d'Extrême-Orient, qui souffre surtout de la dispersion excessive des efforts individuels, est en droit d'attendre les plus sérieux avantages d'une réunion qui pourra introduire plus de cohésion dans les recherches. Le progrès sera considérable si les différents pays intéressés, que relient tant d'attaches, s'organisent en un groupe scientifique, si l'Inde, le Siam, l'Indo-Chine, l'Archipel Indien, la Chine, la Corée, le Japon rapprochent et coordonnent leurs travaux.

L'Ecole Française d'Extrême-Orient, instituée par l'Etat et la Colonie en vue d'étudier les antiquités, l'histoire et la philologie de l'Indo-Chine et des pays voisins, est chargée de l'organisation de ce Congrès.

Des négociations sont engagées dès maintenant en vue de procurer aux membres du Congrès des facilités exceptionnelles de passage et de séjour. Une circulaire ultérieure indiquera les avantages obtenus en même temps que la date exacte (novembre-décembre) du Congrès.

Au cas où vous auriez des observations à nous soumettre ou des questions à nous adresser nous vous prions d'entrer en rapport avec l'un des secrétaires du Comité d'initiative :

M. Henri CORDIER, professeur à l'Ecole des langues orientales vivantes, rue Nicolo, 54, Paris (16).

Et M. Louis FINOT, Directeur de l'Ecole Française d'Extrême-Orient, Saigon.

COMITÉ D'INITIATIVE

Président : M. E. SENART, de l'Institut.

Secrétaire général M. Henri CORDIER, professeur à l'Ecole des langues orientales vivantes. Membres MM. BARBIER de MEYNARD, BARTH, BRÉAL, Dr E.-T. HAMY, de l'Institut; MM. Ed. CHAVANNES et Sylvain LEVI, professeurs au Collège de France; BONET, LORGEOU, Léon DE ROSNY VINSON et VISSIÈRE professeurs à l'Ecole des langues orientales vivantes; E. AYMONIER, directeur de l'Ecole coloniale; Ch. LEMIRE, commissaire général adjoint de l'Indo-Chine à l'Exposition universelle de Paris; E. GUIMET, directeur du Musée Guimet; Maurice COURANT, maître de conférences à l'Université de Lyon.

De son côté le Comité d'organisation a publié la circulaire suivante:

Un Congrès international d'orientalistes, consacré exclusivement aux études sur l'histoire, la philologie et l'ethnographie de l'Inde et des pays d'Extrême-Orient, se tiendra à Hanoi (Indo-Chine) du 1er au 6 décembre 1902.

Les délégués des gouvernements, administrations, sociétés et corps savants ont droit au passage gratuit, nourriture comprise, en première classe, sur les lignes maritimes françaises conduisant en Indo-Chine. Les adhérents au Congrès sans délégation officielle ont droit à une réduction de 33 %. Les réquisitions d'embarquement seront délivrées à Marseille, par le Directeur du Service colonial, et dans les ports étrangers, par les consuls de France. Les souscriptions au Congrès sont fixées comme il suit:

[blocks in formation]

La carte de membre donne droit aux séances, réceptions, excursions et aux publications du Congrès; la carte de dame donne les mêmes droits, à l'exceptions des publications.

Les adhésions, ainsi que les demandes de renseignements doivent être adressées, le plus tôt possible, au Directeur de l'Ecole Française d'Extrême-Orient, Hanoi (Indo-Chine).

Les personnes habitant l'Europe peuvent s'adresser à M. H. Cordier, secrétaire général du Comité d'initiative, 54, rue Nicolo, Paris.

Les membres du Congrès sont priés de vouloir bien faire connaître d'avance s'ils ont l'intention d'y assister en personne et quel est le sujet des communications qu'ils se proposent d'y apporter.

Au sujet de ce Congrès, le Prof. Lucien Scherman, de Munich, écrit dans le supplément de l'Allgemeine Zeitung du 13 février:

« L'Indo-Chine française, depuis qu'on a fait plus ample connaissance avec elle sur le terrain des études historiques et archéologiques, est devenue graduellement un point de réunion pour l'étude scientifique de tout le domaine est-asiatique, depuis l'Inde jusqu'à l'archipel Malais et au Japon. La Métropole française donne une aide puissante aux études historiques appliquées à ses colonies, et ces efforts, grâce à un groupe d'orientalistes français solidement préparés, sont couronnés d'un plein succès. Une « Ecole française d'Extrême-Orient » a, sous la direction de M. Louis Finot, établi son siège à Saigon et a, depuis un an publié trois beaux fascicules d'un Bulletin », qui, par le dessein et l'exécution, promet de devenir une revue de premier rang pour l'étude historico-philologique de l'Indo-Chine. En outre, cette Ecole supérieure déploie une alerte activité dans l'édition d'autres publications scientifiques séparées, sur lesquelles nous nous proposons de publier à cette place quelques brèves informations. Aujourd'hui nous voulons seulement faire connaitre que d'après une circulaire dernièrement adressée aux représentants de l'orientalistique est-asiatique, un Congrès international d'orientalistes à Hanoi, capitale du Tonkin, est projeté pour la fin de cette année. Bien loin de faire, de quelque manière que ce soit, une concurrence dommageable au Congrès général des Orientalistes, connu

et maintenu, et dont la treizième session doit se tenir à Hambourg à l'automne de 1902, ce plan poursuit la tâche plus spéciale, mais non sans importance, d'unir pour un travail commun les savants et les sociétés savantes répandus jusqu'aux extrémités du monde est-asiatique et de leur créer un centre, à eux qui doivent renoncer presque absolument à prendre part aux congrès européens. De cette union des forces jusqu'ici dispersées, on espère avec raison une influence favorable sur la direction future des sciences est-asiatiques; et la réunion en groupes organisés par spécialités scientifiques aura certainement les meilleurs effets, si les représentants des domaines particuliers Inde, Siam, Indo-Chine, Archipel malais, Chine, Corée, Japon, se sentent les coudes et, avec la conscience du but poursuivi, unissent leur activité sous les points de vue supérieurs qui sont à leur portée. L'organisation du Congrès, qui doit se rattacher à une Exposition internationale devant avoir lieu à Hanoï à la même époque, a été confiée par le Gouvernement général de l'Indo-Chine, qui patronne le Congrès, à l'Ecole Française d'Extrême-Orient. »

Annam.

L'archéologie chame vient de s'enrichir de plusieurs découvertes.

Dans la province de Phu-yên, à Cheo-reo, au confluent de l'Ayoun et du Song-ba, M. le garde principal Stenger à trouvé une tour chame contenant des sculptures et des inscriptions. C'est probablement le monument signalé par le P. Guerlach, d'après des récits d'indigènes, et porté dans la carte 5 de l'Atlas archéologique sous le nom de Palai Chu. Nous avons fait ressortir par avance l'intérêt de cette découverte (Bull. 11, 117).

Dans la même province, à Phuoc-tinh, sur la rive droite du Song-Darang, en face de l'ancienne citadelle de Thanh-hoi, les vestiges d'un édifice ruiné ont été signalés par M. Marchandeau, inspecteur des télégraphes; des sculptures et des inscriptions subsistent encore sur cet emplacement.

M. Parmentier a visité les ruines de Cheo-reo et de Phuoc-tinh et nous en a envoyé une relation sommaire que nous donnerons dans notre prochain numéro.

SIAM

D'une lettre qui nous a été adressée par M. Foucher, à la suite d'une visite de quelques jours à Bangkok, nous extrayons quelques notes intéressantes sur les pagodes, musées et bibliothèques de cette ville.

Pagodes. La principale curiosité de Bangkok est naturellement, et pour tous, ses pagodes. Comme au Laos et au Cambodge, elles se composent essentiellement, outre les habitations des moines, etc. de hautes bâtisses à colonnades, à toit recourbé, aux murailles intérieurement peintes à fresque, qui abritent de grandes statues du Buddha, et de stúpas de toute taille. Ceux-ci construits de brique revêtue de mortier et décorés de tessons de porcel ine, affectent au-dessus de leur soubassement deux sortes de formes bien distinctes : l'une, celle des chedi, nous est familière avec sa coupole en forme de cloche et son clocheton aigu d'ombrelles ; le couronnement cylindro-conique des autres (prang), flanqué de quatre fausses portes et surmonté d'un triçùla de métal est une adaptation buddhique de la tour khmère (V. Fournereau, Siam ancien, la fig. de la p. 104). C'est ce que j'ai vu de plus original dans ces pagodes, si je laisse de côté la regrettable intrusion de l'art décoratif chinois et surtout de la statuaire chinoise.

Les pagodes les plus intéressantes sont: 10 la Vat Prah Kéo, où se conserve la fameuse statue enlevée à Vieng-Chan; 2o la Vat Pho, célèbre par son Buddha colossal couché dans la pose du Nirvana, et dont les cours contiennent également un curieux mukhalinga (F., pl. XLI); 3° la Vat Suthat, où l'on voit la prédication du Buddha aux quatre-vingts grands disciples (F., pl. xvII); 40 la Vat Saket, dont la coupole renferme, en guise de reliquaire, un petit stúpa de la forme de ceux de Gayâ; 50 la Vat Raja-bophit, etc., et 60, sur la rive droite du fleuve, la Vat Cheng.

Toutes ces pagodes peuvent se visiter librement et sans autorisation préalable, sauf celle du Praḥ Kéo qui est située dans l'enceinte du palais royal. Je dois dire toutefois que je n'ai pu pénétrer que dans un seul des trois bâtiments du Vat Bot Phram, connu pour les images de divinités brahmaniques qu'il renferme (F., pl. XVIII-XIX).

Musées. — Il y a au palais du Vang Na, qui sert aussi pour les crémations royales, une sorte de musée qui n'est public qu'à certains jours, mais qu'il est aisé de visiter par l'intermédiaire du Ministère de l'Instruction publique.

Il se compose de deux bâtiments distincts, que précéde une collection de vieux canons. Le premier, qui est assez conforme à nos idées européennes, contient pêle-mêle et à l'état rudimentaire les éléments d'un musée 1o d'histoire naturelle (échantillons de géologie, d'entomologie, d'ichthyologie; oiseaux et quadrupèdes empaillés; superbes défenses d'éléphant, etc.); 20 d'ethnographie (tissus et costumes, armes, pipes, instruments de musique, jonques, paniers, mannequins représentant les diverses races de Java, etc.); et 3o d'art décoratif (bronzes, porcelaines, terres cuites, bois sculptés).

Comme je n'avais pas aperçu les fameuses statues de bronze de Sajjanālaya, j'ai obtenu de visiter un autre bâtiment, où elles sont conservées (F., pl. XLIX et L). Moitié musée et moitié pagode, celui-ci renferme en outre les objets les plus hétéroclites: costumes de cérémonie, Selles richement décorées, arbres du tribut de Chieng Maï, insignes du rang de grand-prêtre, masques et casques de théâtre, spécimens de numismatique, et, brochant sur le tout, la part des reliques du stúpa de Piprahwa (Terai) offerte au Siam par le gouvernement de l'Inde britannique. Notons enfin un grand nombre de petites statuettes en jade, cristal ou bronze : très peu sont intéressantes; à beaucoup M. Fournereau a fait les honneurs excessifs d'une reproduction coûteuse, et la magie de la photogravure ne réussit pas à en dissimuler la pauvreté (V. ibid, pl. XXVII-XXXVII).

Si l'on tient à parler ici de Musée, on pourrait aussi bien donner ce nom au trésor de la pagode royale du Praḥ Kéo, avec qui la deuxième collection du Vang Na présente la plus grande ressemblance. Le Vat Praḥ Kéo contient en effet, dans des vitrines, au milieu de beaucoup de bric-a-brac, des images de divinités et d'autres objets précieux ou curieux en plus grand nombre qu'aucune autre pagode.

J'ai encore eu la surprise de trouver dans la cour de ce même Vat Praḥ Kéo, sous de petits pavillons ouverts ou mandapa, deux sortes de dépôts archéologiques de sculptures. Celles-ci étaient entassées sans aucune espèce d'ordre ni d'étiquette, mais pour un œil tant soit peu expérimenté, il n'est pas difficile de reconnaître, tant à la pierre qu'à la facture: 1° l'original de la stèle de la naissance du Buddha, provenant d'Angkor; 2o quelques fragments de frise, originaires de Java (aperçu églement sur les balustrades du temple deux Buddhas de même origine); 3o un Buddha debout, mutilé, qui est de Sârnâth (près Bénarès); 4o et enfin nombre de statues bou Idhiques, (la plupart portant inscrite la formule Ye dharmâ, etc.) et de petits stupas votifs trouvés à Bodh-Gayâ. Tous ces morceaux ont sans doute été rapportés soit par le roi, soit par des pélerins siamois, de leurs voyages à Java et dans l'Inde. Je vous signalerai encore, à l'intérieur d'un chedi à double coupole de la même pagode, un moulage doré du fameux Buddha émacié de Sikri, dont l'original est au musée de Lahore, présent du gouvernement britannique.

Bibliothèque.

--

En fait de bibliothèques, je n'ai été admis qu'à traverser, dans l'enceinte du palais, une sorte de suscription library, dont il existe d'ailleurs un catalogue sur fiches. et qui contient, outre des journaux, illustrés ou non, d'Europe et d'Amérique, quelques livres européens, presque tous en anglais, et un assez grand nombre de manuscrits sur feuilles de palmier, enfermés dans des vitrines ou des armoires pleines.

Tels sont les renseignements qu'en l'absence d'un « guide », j'ai cru devoir vous rapporter de ma courte visite à Bangkok.

INDE

Nous avons annoncé dans notre précédent no la création d'un poste de « Directeur général de l'archéologie » et la nomination à ce poste de M. Marshall. Nous croyons intéressant de donner à nos lecteurs la traduction complète de cette importante « résolution», qui a paru dans la Gazette of India du 15 février 1902:

« La conservation des anciens édifices, qui fournissent un si splendide témoignage de l'histoire de l'Inde et une illustration si intéressante des sentiments artistiques et religieux du passé est une tâche qui mérite au plus haut point la sympathie du Gouvernement de ce pays et doit être regardée comme une responsabilité dont il est chargé et dont il doit compte.

«Il y a quelque temps déjà que l'attention du Gouverneur général en Conseil à été attirée sur la question d'assurer la reconnaissance d'une politique libérale en cette matière et, pour la réaliser, d'accroître l'efficacité de l'organisation qui existe.

« D'après le plan établi en 1898, les provinces de l'Inde Britannique furent groupées en cinq cercles, à chacun desquels fut nommé un Inspecteur archéologique (Archæological Surveyor), qui devait être rétribué sur le budget impérial,mais contrôlé par le Gouvernement local dans la juridiction duquel il avait sa principale résidence.

Il avait pour fonctions d'inventorier les restes archéologiques, de donner des avis aux gouvernements locaux sur la conservation de ceux qui méritaient ce soin, et généralement de poursuivre les recherches archéologiques. La responsabilité de la conservation effective des monuments qu'on déciderait de maintenir était laissée aux gouvernements locaux, qui devaient employer l'intermédiaire des administrations provinciales des Travaux publics pour exécuter les mesures nécessaires de construction et de réparation. Cette responsabilité avait cu pour résultat, dans quelques provinces, des allocations libérales et avisées ; et le Gouverneur général en Conseil reconnaît que l'intérêt et l'orgueil local développé par là envers les monuments d'une province est pour eux la protection la plus efficace contre la négligence.

<< Toutefois l'organisation s'est révélée imparfaite en tant qu'elle laissait le Département archéologique sans un chef expérimenté, qui pùt assister l'effort local par des avis et une direction autorisée et tenir registre des besoins archéologiques des diverses provinces et des mesures prises pour y faire face. En l'absence de cette autorité centrale, l'attention donnée à la conservation des anciens monuments et aux questions archéologiques en général dépend, en partie de l'attrait que ces sujets peuvent avoir pour les chefs des gouvernements locaux et des administrations locales, en partie des fonds disponibles.

« En vue d'introduire une plus grande uniformité et un traitement plus libéral, le Gouverneur général en Conseil a décidé, avec l'approbation du Secrétaire d'Etat, de nommer, à titre d'essai, pour une période de cin¡ ans, un Directeur général de l'Archéologie; et M. J. H Marshail a été choisi pour ce poste.

« Nominalement, ce poste est un renouvellement de celui occupé par le major général Cunningham et le Dr Burgess entre 1871 et 1899. Mais les devoirs du titulaire iront beaucoup plus loin que la direction et le contrôle de la recherche archéologique, à laquelle ces fonctionnaires consacraient principalement leur attention. La plus importante de ses fonctions sera de prendre soin que les anciens monuments du pays soient convenablement entretenus, qu'ils ne

« 上一頁繼續 »