網頁圖片
PDF
ePub 版

BIBLIOGRAPHIE

Indo-Chine

A. CHÉON. Thuan-an trứơc chi tir, poésies traduites par Hanoi, 1902, in-8°, 34 pp. autographiées.

.....

Ces Tiges de bambous de Thuận-an» ou, pour rendre le sens chinois de l'expression plutôt que son mot-à-mot, ces « Poésies d'occasion à propos de Thuận-an», sont tirées du recueil Thuong son tir tuyen ou Anthologie du Throng son, qui contient les œuvres de ffi TH Miền-tham, prince HỀ Tùng-thiện, né en 1819, 10e fils de Minhmạng. Tel le Buddha, le prince Tung-thien avait entre les sourcils une touffe de poils blancs, une ūrņā, qui lui tombait jusque sur la bouche; aussi l'appelait-on le « Maitre aux poils blancs ». Il manifesta de bonne heure un talent poétique que les Chinois mêmes se plurent à reconnaître. Les œuvres écrites en chinois par des Annamites sont assez peu connues pour qu'on doive savoir gré à M. Chéon d'avoir étudié celle-ci avec sa conscience et son exactitude habituelles.

A. CHÉON.

P. P.

Recueil de nouvelles curieuses, publié sous la direction de... Hanoi, 1902, in-8°, 80 PP

M. Ch. avait déjà publié à l'usage des travailleurs indo-chinois toute une série de travaux sur l'annamite et le chinois écrit. C'est à la langue chinoise parlée qu'il s'attaque aujourd'hui en donnant, avec de courtes notices, le texte original de six contes tirés du ✈ W Kin kou k'i kouan. Le recueil chinois est bien connu des lecteurs européens, grâce aux traductions partielles du P. d'Entrecolles, de Davis, Thoms, Abel-Rémusat, Théodore Pavie, Stanislas Julien, d'Hervey de Saint-Denys, Douglas, Schlegel, etc. Mais, comme pour tous les livres chinois, on ne trouvait facilement le texte original qu'en Chine; cette édition partielle sera donc utile aux travailleurs isolés. Comme il s'agit d'un texte en langue mandarine, il vaudrait mieux, à notre sens, que la transcription fùt donnée d'après la prononciation mandarine.

P. P.

G. SCHLEGEL. Siamese Studies. (Supplément au T'oung pao, II, 11, 1902, 128 pp. in-8°.)

Le vocabulaire siamois est fait de pièces et de morceaux; c'est une sorte d'arlequin où la masse des termes religieux ou savants est d'origine hindoue, où beaucoup de mots usuels sont empruntés au malais, où la numération est presque exclusivement chinoise. Aussi une étude étymologique de la langue siamoise est-elle nécessairement ardue par les connaissances accessoires qu'elle suppose. Elle est de plus fréquemment incertaine, car si les mots qui forment le tréfonds de la langue, et en raison de leur monosyllabisme primitif ou acquis, autorisent tous les rapprochements phonétiques, il est clair que par là même ils n'en garantissent à peu près aucun.

M. S. a été de tout temps trop vivement séduit par les problèmes de la linguistique extrêmeorientale, et par ceux-là surtout auxquels la sinologie était intéressée, pour ne pas tenter de vaincre ces difficultés. Après avoir donné quelques notes à propos du Lehr- und Lesebuch der siamesischen Sprache de Wershoven et des Elements of Siamese Grammar de Frankfurter, il a codifié ses remarques en un opuscule de 128 pp., intitulé Siames Studies, et publié cette année en supplément au Toung pao.

Sur le but poursuivi et sur le résultat atteint, nous laisserons la parole à M. S. : « Mon but a été de trouver les expédients qu'employèrent les Siamois pour transcrire les sons étrangers, qui leur étaient tout aussi peu familiers qu'aux Chinois; et exactement comme j'ai montré et expliqué les expédients qu'employèrent les Chinois pour transcrire les mots sanscrits et autres, je vais faire maintenant de même pour la méthode siamoise qui est beaucoup plus compliquée » ; et le travail s'achève en ces termes : « En observant les règles que nous avons posées dans cet article, la voie sera ouverte pour donner l'étymologie de tous les mots du dictionnaire siamois ».

De fait, il y a beaucoup de choses dans ce travail, de l'excellent et du médiocre. Il est bon qu'on ait un répertoire des mots empruntés par le siamois aux langues étrangères et que des séries permettent d'établir les règles des altérations subies. Les solutions obtenues pour les mots d'origine hindoue sont à peu près hors de conteste, et pour les mots reçus du malais les résultats sont suffisamment concluants. L'ouvrage n'est donc ni sans mérite ni sans utilité, et nous nous attacherions à le montrer plus longuement si l'auteur ne s'était chargé lui-même de ce soin.

Les étymologies chinoises par contre sont fortement sujettes à caution. Le chinois et, dans une certaine mesure, le siamois sont monosyllabiques, les homophones ou quasi-homophones abondent dans les deux langues; par suite quelque mot siamois se pourra presque toujours rapprocher d'un mot chinois voisin de son et de sens analogue. En ce cas l'emprunt sera possible, mais il faudra des arguments solides pour forcer la conviction, car il est a priori deux autres hypothèses contre lesquelles ils auront à combattre, celle d'une coïncidence fortuite, et celle d'une identité foncière non par emprunt, mais par issue commune d'une même souche linguistique. Ce n'est donc pas nier le problème que de contester que le résultat soit acquis à la science parce qu'il a été reconnu comme possible, alors qu'il n'est sorti, lui plutôt qu'un autre, de l'océan des possibles, que par l'arbitraire d'un philologue.

La numération est un des cas où la parenté des termes siamois et chinois n'est guère contestable; mais dans la comparaison même que M. S. institue entre les deux séries, on peut toucher du doigt ce qui nous semble être le défaut de sa méthode. Quelques nombres en effet paraissent irréductibles, tel cent, en siamois roi. M. S. tire roi du chinois ʼn po, car ce mot est prononcé pah dans le dialecte de Tchang-tcheou près d'Amoy; pah est devenu rah, puis raï ou roi »; et voilà. M. S. en 1892 avait énoncé que le siamois nyng, qui signifie un, n'était autre que le chinois leang, prononcé nung à Amoy, et qui, il est vrai, signifie deur, «mais cette modification ne doit pas surprendre, car song, qui signifie deux en siamois, est le même que le t'ong birman qui signifie trois ». Aujourd'hui M. S. a changé d'avis, sins en donner autrement les motifs, et dit simplement qu'il voit dans nyng le chinois ling, single », avec cette remarque sybilline: «One being no number, could have been considered as single ». D'ailleurs si cette explication ne satisfait pas, M. S. en a une autre en réserve : « ou bien devons-nous reconnaitre dans nyng le nano, nanu et nẫn des Orang Sakaya de l'intérieur de Malacca, qui signifie un ? » Il n'y a pas de raison pour clore déjà la liste : le siamois n'est qu'un dialecte de la langue thaï; or ce même mot nyng ou nung signifiant un se retrouve dans beaucoup de dialectes thaï, y compris ceux du Haut-Tonkin, qu'il y a peu de chance que la langue des Orang Sakaya ait influencés; mais c'est le seul rapprochement dont M. S. ne se soit pas avisé.

[ocr errors]

Il est d'ailleurs assez digne de remarque que dans ce travail consacré à un dialecte thaï, et où le chinois, le sanscrit, le malais, le javanais, le cambodgien, l'annamite, l'arabe, le persan,

les dialectes sauvages des Indes Néerlandaises et de Formose sont copieusement cités, il n'est qu'un groupe dialectal dont il ne soit jamais fait état, c'est précisément le groupe thaï. En théorie, M. S. pouvait le laisser de côté, puisqu'il n'étudie que les mots étrangers en siamois. Mais, comme en fait nombre des mots « empruntés au chinois se retrouvent dans tous les dialectes de la famille, et que, selon M. S.. ces mots chinois ont été apportés au Siam par des marins foukienois naviguant dans les mers du Sud, il faudra bien rechercher comment, des bouches de la Menam, ces mots ont gagné les frontières du Yunnan. C'est remettre indirectement en question tout le problème des origines thaïes. M. S. s'est tu sur ces difficultés et s'est borné à émettre sur le groupe siam is une théorie toute nouvelle. Pour lui, les Siamois étaient un peuple foncièrement apparenté aux tribus négritos de la presqu'ile de Malacca; ils étaient établis au bord de la mer, et reçurent des Malais leur première civilisation; au IIle siècle de notre ère arrivèrent les Chinois, et au Ville les Arabes: voilà pour les migrations. maritimes. Entre temps, les Hindous étaient descendus du Nord, et peu à peu ils gagnèrent au Sud jusqu'à conquérir l'ensemble du pays; c'est ce qu'on voit par la suite de leurs trois capitales: Sovankhalok, Ayuthya, enfin Bangkok en 1782. Ces Hindous avaient le teint clair; aussi appelèrent-ils les aborigènes, « qui étaient de teint foncé, ou plutôt noir », du nom de Çyama, « les Nègres ». Quant au nom de Thaï, « dont aucune explication plausible n'a été donnée », c'est le sanscrit dayâ, « compatissant ». Ainsi, de groupes thaïs qui couvriraient le centre de l'Indo-Chine et dont les lointaines tribus occuperaient une partie du Yunnan et l'ile de Hainan, il n'est plus question, et par langue thaïe, il ne faut plus entendre désormais que le siamois qui était originairement une lang te de négritos. Telle est, autant que nous avons pu la comprendre, la théorie que M. S. expose comme en se jouant. Il ne donne pas ses preuves; il serait done vain de discuter à présent. Espérons que nous connaitrons sous peu les graves motifs qui ont nécessité tout ce bouleversement.

Dans le détail des exemples, on pourrait relever un assez bon nombre d'inadvertances; (p. 2) il est assez bizarre de dire de pl et pr que « en fait, il est impossible de prononcer semblable initiale double sans laisser entendre une voyelle sourde »; - (p .41 et autres) M. S. distingue une langue khmère et une langue cambodgienne; il serait intéressant de connaitre le fondement de cette distinction; (p. 10) il y a dans la langue cambodgienne des dérivations par infixation nasale, et M. S. dit très justement que châmnér, « longtemps après », est dérivé de la racine cher; mais en même temps il en rapproche le siamois djămnien passé », qu'il dit composé du préfixe djăm, et de nien; si telle est bien la composition du mot, elle exclut le rapprochement;

(p. 39) à propos du kriss, ou poignard

malais, M. S. « mentionne comme une curiosité que les Français, qui n'aiment pas à prononcer un s final, prononcent ce mot cric et crit ». Qu'il n'en crie rien. Au XVIIe siècle, l'abbé Raynal écrivait crid, mais la forme généralement comprise est kriss; · (p. 3) « l'ancien nom

du Cambodge, khmer, doit avoir été prononcé jadis khmer, car les Siamois prononcent le nom khẳmén » ; c'est seulement possible, car le nom a pu être aussi bien allongé par les Siamois que contracté par les Cambodgiens; — (id.) M. S. dit que « le mot sanscrit kṣema est restauré en siamois kusem », d'où il semble déjà qu'il admette un primitif bizarre kaşema, mais le doute n'est plus possible quand il ajoute: « Quelquefois la royelle tombée est restaurée en siamois, comme pour le sanscrit stuti, en siamois sădădi », et il termine la liste par cette remarque étrange: Le mot sanscrit púrva (lEst) a été transcrit par les siamois búra: phẩ, ce qui prouve que le mot sanscrit a dû être prononcé, au moment de la transcription, ou peut-être primitivement, purara, et fut contracté plus tard en púrra, avec élision de l'a médian ». Voilà qui avait échappé aux auteurs du dictionnaire de Saint-Pétersbourg.

[ocr errors]

P. PELLIOT.

Inde

Gāndra-vyākaraṇa, Grammatik des Candragomin. Sūtra, Uṇādi, Dhātupāṭha. Herausgegeben von Bruno LIEBICH. Leipzig, 1902. (Abhandlungen für die Kunde des Morgenlandes, XI, 4.)

Candragomin est un grammairien buddhiste qui florissait au Kaçmir à une époque que M. Liebich, se fondant sur un passage de la Rājatarangiņi (I, 176) combiné avec un exemple de l'auteur lui-même (vṛtti sur I, 2, 81; ajayaj japto hūņān, corr. ajayad gupto hūņān), croit pouvoir fixer à la seconde moitié du Ve siècle (W. Z. XIII, 308 sqq.). Il a composé une grammaire en sutras, sur le modèle de Panini, avec les annexes ordinaires de ce genre de traités le Dhatupāṭha et l'Uņādi. L'ouvrage a été traduit en tibétain entre 700 et 900 A. D. et se trouve dans le t. 116 du Tandjour. Ces trois parties (sutra, dhātupāṭha, uṇādi) sont publiées par M. L. à l'aide de manuscrits, la plupart népalais; pour une partie de la dernière seulement, l'éditeur a été réduit à la version tibétaine, qui d'ailleurs ne laisse guère d'incertitudes. Il ne manque à la collection, pour être complète, que le commentaire, vṛtti, qui lui paraît être l'œuvre de Candragomin lui-même. Nous souhaitons vivement que M. L. exécute bientôt le projet qu'il annonce de joindre à son excellente édition cet utile complément. L. F.

M. GALLENKAMP. - Dravidische Volkspoesie, I. (Globus, 24 juillet 1902.)

M. G. donne quelques specimens de la traduction qu'il prépare du livre de Charles E. Gover: The Folksongs of Southern India, Madras, 1871.

Colonel J. DAVIDSON.

Notes on the Bashgali (Kafir) Language. (Journal of the Asiatic Society of Bengal, vol. 71, p. I, 1902, xш-195 pp).

Les habitants du Kafiristan ont été tour à tour identifiés avec les descendants des compagnons d'Alexandre, les Slaves et les Juifs. Le Rev. J. Wolff y a vu plus spécialement des descendants des quatre tribus de Nephtali, de Zabulon, de Dan et d'Aser!

On n'avait jusqu'ici que quelques petits recueils de mots kāfirīs. Le livre du colonel Davidson est le premier essai sur la grammaire de cette langue. Il a réuni ses matériaux pendant un séjour de deux années dans le Chitral et avec l'aide de quelques indigènes de la vallée de Waigul, dont le dialecte sert de base à son travail. Le kāfirī n'a jamais été écrit; aussi sa grammaire est-elle extrêmement flottante. Ainsi les adjectifs peuvent s'accorder en genre avec le substantif qu'ils qualifient, ou bien ils peuvent rester invariables. La déclinaison et la conjugaison rappellent les formes des langues aryennes modernes de l'Inde. Comme d'autres peuplades du Pamir, les Kafirs comptent par vingtaines les multiples de dix. Ils n'ont pas de mots pour dire cent et mille; toutefois ils se servent du mot persan azār (hazār), « mille », mais pour désigner 400 (2020).

Nous soumettons à l'auteur deux observations. Dans la préface il dit que le kafirī connait la loi de l'harmonie vocalique qui régit les langues turques et tartares; mais dans la grammaire il n'en est pas parlé et nous n'avons pas réussi à en trouver l'application dans la riche collection de phrases à la fin du volume. Enfin dans le chapitre qui traite du verbe, il est dit que le participe présent se forme en ajoutant ou n à la racine, ex. kul, « faisant, »> nichin, «assis ». Nous croyons que la première forme est la seule vraie; car aucun autre exemple de participe en n n'est donné et le nichin cité doit être le persan nichīn, qui signifie également a assis ».

[ocr errors]

E. HUBER.

M. GEIGER.

Etymological Vocabulary of the Maldivian Language. (Journ.

Roy. As. Soc., octobre 1902, pp. 909-938.)

Le vocabulaire que donne M. G. n'est pas un lexique complet de la langue des Maldives, mais seulement une liste des mots dont il est possible de donner avec certitude l'équivalent singhalais ou pȧli. La conclusion qui ressort de ces comparaisons est que cette langue est un dialecte, et un dialecte peu ancien du singhalais.

Père Pierre HOANG.

Chine

pp.

[ocr errors]

Mélanges sur l'administration. (Variétés sinologiques, no 21.) Chang-hai, 1902, in-8°, 233 Tableaux des titres et des appellations de l'Empereur, des membres de sa famille et des mandarins. (Extraits du no 21 des Variétés sinologiques.) Ibid., 55 pp.

Il nous a été déjà donné de louer la méthode précise, l'information exacte du P. H. Dans son étude sur le Mariage chinois, le P. H. avait promis un certain nombre d'Exposés dont il publie aujourd'hui une première série. Les sujets en sont très variés. Un minutieux tableau des sceaux officiels et de leur emploi épuise le sujet et ne pouvait être dressé que par un Chinois. Les études sur la condition sociale des gens des Bannières, sur celle des esclaves et serviteurs, des «< personnes viles » privées du droit d'accès au mandarinat, sur les récompenses et punitions infligées aux fonctionnaires, sur le sauvetage du soleil et de la lune dans une éclipse, sur le système et l'influence de Tchou Hi (1), sont autant de courtes et substantielles monographies. Mais le chapitre que l'auteur lui-même a bien vu qui serait de la plus immédiate utilité, puisqu'il l'a fait tirer en un fascicule à part, est le tableau, par rang d'abord,

(1) Dans cet Exposé, le P. H. consacre une longue note au pa kou wen tchang, qui faisait le fond des examens de licence et de doctorat. Il faut aujourd'hui ajouter un nouveau paragraphe: le pa kou wen tchang est supprimé. En 1898, au moment de la Réforme, Tchang Tche-tong et Tch'en Pao-tchen avaient présenté un mémoire au trône sur la nécessité de modifier le système d'examens; les conclusions en ont été reprises et sanctionnées en un édit de 1901 (4e jour de la 8° lune), et ont bouleversé l'ancien système, tel qu'il avait été magistralement exposé par le P. Zi. Les trois épreuves de licence et de doctorat sont désormais : 10 中國史事論五篇, cinq dissertations sur des sujets d'histoire chinoise; 20各國政 , cinq compositions sur des sujets d'actualité ou sur les sciences

européennes; 30 **£#*, trois dissertations sur les quatre livres et les cinq classiques. Ces dissertations sur les classiques remplacent le pa kou wen tchang, mais sont reportées de la première à la troisième épreuve ; ce changement avait une grosse importance dans le projet de Tchang Tche-tong, puisque chaque épreuve était éliminatoire par rapport aux suivantes; les dissertations sur les classiques étaient donc bien reléguées au dernier plan; mais cette partie du mémoire n'a pas reçu l'approbation impériale, et tous les candidats peuvent passer les trois épreuves. La tradition n'a pas encore eu le temps de s'établir sur ces explications des classiques; l'essentiel est qu'elles ne sont plus en périodes balancées (A), mais bien de rédaction libre). Le type en parait emprunté aux explications des classiques dites Tsin tch'eng kiang yi publiées par les king yen kiang kouan sous les premiers empereurs de la dynastie actuelle.

« 上一頁繼續 »