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Mahābhārata, a subi des remaniements qui en ont altéré profondément la forme primitive. Sa méthode de critique a été depuis vivement contestée par le P. Dahlmann, qui l'a déclarée « intenable et arbitraire ». Le P. Dahlmann soutient que les contradictions internes relevées par Lüders proviennent de ce fait que le Mahabharata est une compilation de thèmes légendaires, que le rédacteur a réunis, sans se mettre en peine de les unifier. Lüders maintient ses conclusions et sa méthode et tire de nouveaux arguments d'une rédaction de la légende fournie par un ms. Grantha de la Société Asiatique de Londres. Il y joint de nouvelles recherches qui complètent son premier article.

L. F.

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J. HERTEL. Zwei Erzählungen aus der Bonner Hitopadeça-Handschrift (Zeitschr. d. Morgenl. Gesell., t. 55, pp. 487-494).

M. H. publie deux récits interpolés dans le texte du Hitopadeça, qu'il a tirés d'un ms. de Bonn. Ils auraient pu y rester.

Chine

Père P. HOANG. - Tableau chronologique de la dynastie mandchoue-chinoise Ta-ts'ing. (Journ. N. China Br. Roy. As. Soc., 1899-1900, no 2, pp. 102152)

Voilà de bon et utile travail. Il n'est personne qui n'ait ouvert deux livres sur la Chine sans remarquer d'étranges divergences sur les dates qui devraient, semble-t-il, être le mieux établies. A prendre même l'ouvrage de référence constante qu'est le Chinese biographical Dictionary de Giles, on s'aperçoit par exemple qu'il est dit, au no 941, que K'ang-hi règna jusqu'en 1723, tandis qu'au no 2577, il est dit que Yong-tcheng succéda à son père K'ang-hi en 1722, et les deux <«< erreurs » s'expliquent, l'une par ce fait que K'ang-hi est mort le 20 décembre 1722 et que son fils est monté sur le trône le 27 décembre 1722, l'autre par l'habitude chinoise d'attribuer au règne de l'empereur défunt tout le reste de l'année courante; or l'année chinoise empiète sur la nôtre; le règne de K'ang-hi s'est ainsi trouvé prolongé jusqu'au 4 février 1723 inclusivement. C'est à des difficultés de ce genre que l'exacte compilation du P. Hoang permet de parer. Elle fournit pour les empereurs, leurs fils, petits-fils, arrière-petits-fils, et pour les impératrices, les dates exactes de naissance, d'avénement, de mort, tirées des documents officiels. Le travail du P. Hoang était destiné à ce Manuel du sinologue entrepris par le P. Havret, et que la maladie, puis la mort sont venues interrompre, mais dont il faut espérer la reprise et l'achèvement. P. P.

Père Louis GAILLARD.- Nankin port ouvert. Var. sinolog., no 18). Changhai, 1901. In-8, xX1-483 pp.

En avril 1900, le Père Gaillard, qui s'était taillé dans Nankin et ses environs comme une sorte de fief scientifique, montait à Péking pour comparer les tombeaux septentrionaux des Ming à ceux du Sud. Le 12 mai, il était emporté par une pleurésie. Son service funèbre fut le dernier office solennel célébré au Nan-t'ang, ruiné peu après par l'insurrection. Les Jésuites de Ho-kienfou tinrent à donner asile en leur cimetière à leur confrère du vicariat méridional. Sa dépouille échappa ainsi à la profanation qui, quelques semaines plus tard, jeta aux vents les cendres de Ricci et de Schall. En dehors de nombreux travaux amorcés, le P Gaillard laissait un ouvrage achevé dont ses confrères ont assuré la publication: Nankin port ouvert.

Nankin s'est trouvé pendant quarante ans dans une situation unique en Chine; la stipulation du traité français de 1858 qui en faisait un port ouvert est restée lettre morte jusqu'au printemps de 1899, et ce sont les causes et les conséquences de cette anomalie qu'étudie le P. Gaillard. Mais ce n'est pas là le seul sujet de ce gros livre. C'est en réalité toute l'histoire des relations de l'Europe et de la Chine depuis quarante ans qui s'y trouve esquissée et parfois développée. D'aucuns jugeront peut-être la méthode par trop discursive; mais un bon index mettrait tout en valeur, et, s'il n'est qu'ébauché, n'oublions pas que nous avons affaire à une publication posthume. C'est la même explication, croyons-nous, qui rend compte d'inadvertances nombreuses, comme Tche-fou. (p. 10), ou Pakhoi transcrit par (p. 79). Tel quel, il

nous a beaucoup appris; en un cas à tout le moins, il ne nous a pas convaincu. Une des grosses préoccupations du P. Gaillard est en effet d'établir la condition légale du missionnaire en Chine; à ce sujet, il vient à parler de la fameuse clause interpolée » de 1860. On sait de quoi il s'agit. C'est le traité français du 25 octobre 1860 qui a donné aux missionnaires le droit d'acquérir des biens immobiliers à l'intérieur de l'Empire chinois; or le traité est en deux langues, française et chinoise, et la clause en question ne se trouve que dans le texte chinois. Comme il est formellement stipulé qu'en cas de contestations c'est le texte français qui fait foi, les Chinois semblaient autorisés à dénier aux missionnaires le bénéfice de ce droit d'achat. D'où provient la divergence des textes? L'abbé Delamarre, qui servait d'interprète au baron Gros, en pourrait bien avoir une part de responsabilité, mais peu importe ici. De plus la question n'a plus qu'un intérêt historique, car la convention Berthemy en 1865, puis la convention Gérard en 1895 ont suppléé au silence du texte français. Mais le P. Gaillard veut nous prouver que, même sans ces deux conventions, le droit était acquis aux missionnaires, et c'est là que nous ne pouvons le suivre. Pour le P. Gaillard, les deux textes du traité ont une valeur égale, sauf dans le cas d'une divergence d'interprétation provenant de l'obscurité des versions, auquel cas le texte français fait autorité. Mais ici, dit-il, le texte chinois est parfaitement clair, on ne saurait donc tirer parti du silence du texte français. L'argument est ingénieux, mais nous paraît un peu côtoyer le sophisme. D'ailleurs le P. Gaillard était un travailleur trop industrieux pour que, même en ce sujet où nous repoussons son système, son labeur ait été inutile. Il a réuni quantité de faits, discuté nombre de théories, marqué les étapes de la politique française vis-à-vis des missions catholiques et les hésitations de la diplomatie anglaise vis-à-vis des missions protestantes. D'autres viendront peut-être qui de ses renseignements tenteront de dégager quelques autres conclusions. Mais c'est toujours à lui que reviendra l'honneur d'avoir groupé les faits eux-mêmes sur lesquels la discussion s'engagera.

P. PELLIOT.

Edouard CHAVANNES. De l'expression des vœux dans l'art populaire chinois. (Journ. Asiat., sept.-oct. 1901. pp. 193-233).

<« Le décor dans l'art populaire chinois est presque toujours symbolique; il exprime des vœux. » Plusieurs modes servent à l'expression de ces vœux : tantôt l'écriture pure et simple, et on écrit cheou, longévité, pour souhaiter à quelqu'un une longue existence; tantôt l'association d'idées, et un livre représentera le savoir, ou une grenade, à cause de ses grains abondants, exprimera le souhait d'une nombreuse postérité; tantôt le simple rébus. Le caractère de la langue chinoise se prète merveilleusement à ce dernier mode. Sa pauvreté phonétique est cause qu'un mot abstrait quelconque a toujours un homophone désignant quelque objet concret. Dès lors, si on représente cet objet concret, il suggérera l'idée de l'homophone abstrait. Une amulette sera ornée d'une hallebardeki, d'une pierre sonore king, et d'un de ces sceptres qu'on appelle communément des jou-yi.Or ki, hallebarde, est homophone de ki, bonne chance, king, pierre sonore, est homophone de king, bonne fortune, jou-y signifie au propre « conformément à vos désirs », et c'est ainsi qu'une hallebarde, une pierre sonore et un sceptre signi

fieront immédiatement pour un Chinois: «Que votre bonne chance et votre bonne fortune soient telles que vous les désirez. » De même une bouteille (ping), une selle (ngan) et un sceptre (jou-yi) suggéreront ce vou: « Ayez la paix (F ping) et le calme (ngan) conformément à vos désirs (jou-yi).» Une autre forme de symbolisme consiste dans la représentation de personnages évocateurs de certaines idées. C'est ainsi que sur les porcelaines on voit souvent deux jeunes garçons à l'air joyeux: ce sont les deux ho-ho l, symbole de la bonne entente. Comme les personnages de l'art chinois sont nombreux, on les distingue par des attributs; ceux des ho-ho sont déterminés par un calembour: un nénuphar (ho) et une boite ronde ( ho). Le souhait du bonheur est le plus souvent répété; ses symholes ordinaires sont la chauvesouris, fou, qui suggère le « bonheur » fou, et l'araignée, hi, qui suggère « la joie hi. La même idée est exprimée par les citrons déchiquetés à leur extrémité qu'on appelle des « mains de Buddha », fo-cheou. Or fo (mandarin du centre, fou) est homophone de fou, bonheur; ajoutons à l'explication de M. Ch. que cheou, main, est homophone de cheou, longévité; ce citron signifie done: bonheur et longévité ». Ces symboles sont trop nombreux pour que nous puissions les signaler ici en détail, et nous ne pouvons que renvoyer au travail de M. Ch., qui lui-même est loin d'épuiser le sujet.

P. P.

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A. VISSIÈRE. Traité des caractères chinois que l'on évite par respect. (Journ. Asiat., sept.-oct. 1901, pp. 320-373).

li.

M. V. dresse ici, avec sa précision ordinaire, la liste des caractères à éviter par respect, et indique quelles formes leur doivent être substituées L'interdiction fondamentale porte sur seize caractères: hiuan, ye, yin. tchen, 34, hong, yong, Eyen, min, ning.tchoutchouen, tien, lien. kicou et ko. Les treize premiers caractères faisaient partie du nom personnel d'empereurs de la dynastie actuelle; le quatorzième entrait dans le nom d'un fils de Kien-long, héritier présomptif qui mourut avant de régner; K'ieou et Ko sont les noms personnels de Confucius et de Mencius.

P. P.

Maurice COURANT. Note sur l'existence, pour certains caractères chinois, de deux lectures distinguées par les finales K-N, T-N, P-M. (Mém. Soc. linguist. de Paris, t. XII, pp. 67-72).

Ex.: leang, qui a, selon la transcription de M. Courant, les deux prononciations actuelles lyo et lyan (prononciations anciennes, lyak et lyán); ta, qui a les deux prononciations actuelles ta et tán (anciennes tat et tán); tien, qui a les deux prononciations actuelles tyg et tyán (anciennes tiap et tiám). La note de M. C. se borne d'ailleurs à ces constatations. P. P.

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G. E. MOULE. Notes on the Ting-chi or half-yearly sacrifice to Confucius. (Journ. N. China Br. Roy. As. Soc., 1899-1900, no 2, pp. 37-73).

M. M. eut l'occasion en 1891, au grand temple confucéen de Hang-tcheou, d'assister à la répétition » par le préfet du sacrifice Ting T, que le vice-roi y doit célébrer tous les ans au 2e et au 8e mois, le jour T, avant l'aurore; en septembre 1898, c'est du sacrifice même que M. M. fut témoin. Après une description sommaire de la cérémonie, M. M. en étudie le rituel, d'après le Ting-tsi-p'ou T. Le Ting-tsi-p'ou serait principalement extrait du

Houei-tien et du Tong-li, mais ses indications musicales semblent empruntées au Wen-miao-se-tien-k'ao, et au Houang-tch'ao-tsi-k'i-yo-wou-lou

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. Malgré ses recherches, M. M. n'arrive pas à faire une théorie complète de

ces notations.

P. P.

Père Henri HAVRET. T'ien-tchou, « Seigneur du Ciel, à propos d'une stèle bouddhique de Tch'eng-tou. (Var. sinolog., no 19). Changhai, 1901, in-8, 30 pp.

Cette étude sur l'histoire d'un mot est le dernier effort d'un homme dont on peut dire que rien de ce qu'il fit n'est indifférent. Le P. H. nous montre comment Juifs et Musulmans ont appelé l'Etre Suprême de noms empruntés au confucéisme et au taoïsme, et il établit que l'ancienne Église nestorienne ne fut pas plus exclusive dans sa terminologie. Mais à peine entrés en terre chinoise, les Jésuites de la fin du XVIe siècle, le P. Ruggieri, le P. Ricci, créent, semble-t-il, et en tout cas adoptent le nom de « Seigneur du ciel », Tien-tchou, qui est aujourd'hui le seul usité dans l'Église romaine. Ce n'est pas à dire que ces premiers apôtres de l'évangélisation en Chine se soient montrés intransigeants; plus versés dans les lettres chinoises que leurs adversaires dominicains ou franciscains, les anciens Jésuites acceptaient volontiers les termes confucéens de Tien « Ciel », de Chang-ti «Souverain Seigneur, comme des équivalents du nom de Dieu; ainsi disons-nous le Seigneur ou le Très-Haut. Rome en jugea autrement, et depuis la constitution Ex quo singulari de Benoît XIV, 5 juillet 1742, le terme de Tien-tchou est seul admis par les catholiques. Les Églises protestantes ne sont pas arrivées à

s'entendre entre elles.

Seigneur

Ce terme de « Seigneur du Ciel » est d'ailleurs bien antérieur au XVIe siècle; le du Ciel » est cité par Se-ma Ts'ien comme le premier des huit esprits honorés par Ts'in-che Houang-ti au 111 s. avant J. C; dans le buddhisme, c'est un des noms assez fréquents d'Indra. Et à lire le P. Havret, nous pensons que bien vides ont été ces longues controverses du XVIIIe et du XIXe siècles sur le nom à donner en chinois à la divinité. Quel que soit celui qu'on adopte, il en faudra toujours modifier la valeur, puisque c'est le concept même qu'on lui fait représenter qui est étranger aux Chinois. Les Nestoriens du VIIe siècle n'y regardaient pas de si près, et peut-être n'avaient-ils pas tort; tout est question de définition.

P. PELLIOT.

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Col. Sir T. H. HOLDICH. Lhasa. (Geogr. Journ., déc. 1901, pp. 602-sqq.). Esquisse rapide de ce que nous savons sur l'aspect de Lhassa et de Potala, avec un plan et une vue à vol d'oiseau de Lbassa, et un dessin ancien et une photopraphie récente de Potala. On pourra comparer cette photographie de Potala avec celle qui a paru dans La Géographie d'octobre 1901.

L. NOCENTINI.P'ieng-yang. (Giorn. Soc. Asiat. Ital., XIV, 1901, pp. 217-240). Traduction annotée d'un nouveau chapitre du Tong fan ki yao, ouvrage sur la Corée dont M. N. avait déjà tiré plusieurs articles. Il s'agit du chapitre consacré à l'ieng-iang , qui est l'ancienne capitale du vicomte de Kit. Sur d'autres chapitres tirés du même ouvrage, cf. Giornale, vol. XI, XxII, XIII.

Japon

E. BAELZ. -Menschen Rassen Ost-Asiens mit specieller Rücksicht auf Japan. (Verhandl. der Berl. Gesell. für Anthr., Ethnol. und Urgesch., 1901, pp. 166-189 et 202-220).

J. DENIKER.Les taches congénitales dans la région sacro-lombaire considérées comme caractère de race. (Bull. et Mém. de la Soc. d'Anthr. de Paris, 1901, pp. 274-281).

Le Dr Baelz rappelle que dès 1883 il a publié une étude importante sur la race japonaise, intitulée: Die körperlichen Eigenschaften der Japaner, Tokio, 1893, complétée par Koganei, dans les Mittheilungen der medic. Facult. zu Tokyo, t. 11, no 1, 1893. C'est de ces études poursuivies pendant vingt ans que M. Baelz essaie de dégager une sorte de classification des races de l'Asie orientale. Il distingue trois grands groupes: 10 Ainu; 2o Mandchou-coréen; 30 Malayomongol.

Sur la petite taille des Ainus, le développement de leur système pileux, le tatouage des lèvres particulier aux femmes, M. B. n'apporte rien de bien neuf. Il propose, chemin faisant, une explication du nom Wodjin (Ouo-jen) donné par les Chinois aux Japonais et qui désignerait des nains bossus, en le rapportant aux Ainus, petits et souvent courbés et qui devaient alors occuper presque tout le Japon actuel: c'est assez peu convaincant. M. B. signale de très curieux cimetières ainu; il serait à désirer qu'on en fit une étude plus détaillée.

Aux Mandchou-coréens, de type relativement grand et « aristocratique, M. B. rattache cette minorité de la population japonaise qu'il appelle la race noble, par opposition au gros du peuple, qu'il classe parmi les Malayo-mongols,

Enfin M. B. touche à la question des taches bleuâtres, constituées par la présence de pigment dans le derme, et qui sont visibles lors de la naissance chez presque tous les enfants de race japonaise pure dans la région sacro-lombaire. Il y a bientôt vingt ans que M. B. avait signalé l'existence de ces taches: il en reprend l'étude ici et y voit la plus puissante marque distinctive qui sépare la race mongole des autres races.

C'est du même sujet que M. Deniker entretenait presque simultanément la Société d'Anthropologie de Paris. Depuis vingt ans en effet, l'existence de ces taches bleues signalées par Baelz chez les Japonais, et qui ne trouvent pas chez les Ainus, a été reconnue chez les Chinois par Matignon, chez les Tagals par Collignon, chez les Malais par Kohlbrugge et Ten Kate, chez les Annamites et les Siamois par Chemin, enfin chez les Esquimaux par Sôren Hansen. (C'est sans doute par confusion avec le mémoire de Hansen que le Dr Baelz a été amené à dire, sans pouvoir citer de références, que Nansen avait signalé les taches bleues chez les Esquimaux). M. Deniker voit dans ces taches une marque caractéristique de la race qu'il appelle indonésienne. Il est impossible d'arriver à des conclusions fermes avant que la liste ait été exactement dressée des peuples chez lesquels ce phénomène physiologique apparait.

P. P.

Alexandre BENAZET. -Le Théâtre au Japon. Esquisse d'une histoire littéraire. Paris, E. Leroux, 1901. in-8o, vin-296 pp.

M. B. s'est proposé de tracer une histoire complète du théâtre japonais, dont à peu près rien n'est traduit, sans avoir un accès direct aux textes, et uniquement d'après des travaux de seconde main. La tentative était paradoxale et condamnée d'avance: on ne pouvait espérer qu'une compilation consciencieuse, où, à défaut d'une base philologique solide, une critique avertie des renseignements épars dans nombre de livres et d'articles démêlerait l'acquis de l'incertain et définirait avec précision l'état de nos connaissances sur cette branche de la littérature japonaise. Malheureusement, ce qui manque le plus à ce livre, c'est une critique des

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